Un protocole d’entente sur les pipelines ajoute un partenaire crucial

Danielle Smith

By Danielle Smith

Jul 22, 2025

Danielle Smith :Oléoducs et gazoducs, et élargissement des corridors commerciaux vers les marchés mondiaux. Cet accord permettra à nos trois provinces de développer des pipelines et des voies d’accès pour stimuler les exportations de potasse énergétique locale, de minéraux critiques et de produits agricoles vers les marchés du Canada et du monde entier. Et pour atteindre ces objectifs, il est indéniable que l’union fait la force.

Ensemble, nous franchissons une étape sans précédent pour unifier davantage nos efforts afin de lancer des projets d’envergure dans tous les secteurs, avec un objectif ultime : connecter nos ressources de calibre mondial et nos produits à valeur ajoutée à la clientèle croissante du Canada. Nos trois provinces poursuivront également leurs appels conjoints à l’élimination des obstacles fédéraux aux projets d’édification du pays, afin que nous puissions collectivement faire progresser les pipelines, les chemins de fer, le transport d’électricité, les infrastructures et d’autres grands projets.

Nous connaissons leur force lorsqu’ils font front commun, mais nous ne pouvons atteindre nos objectifs provinciaux communs sans la coopération du gouvernement fédéral. L’Alberta le sait. La Saskatchewan le sait. L’Ontario le sait aussi, et il est temps que le gouvernement fédéral le reconnaisse également. Et si le premier ministre Mark Carney refuse de collaborer avec nous, il n’aura pas seulement à s’inquiéter de moi et de Scott Mo ; il devra aussi composer avec le premier ministre Doug Ford, qui a déclaré à maintes reprises qu’il lui tomberait dessus, comme un gorille de 360 kg.

Il est donc temps d’abroger les mauvaises lois qui ont nui à la croissance du secteur énergétique canadien et d’autres industries comme l’exploitation minière. Vous devriez tous bien connaître ces mauvaises lois dont je parle : le projet de loi C-69, le plafond des émissions de pétrole et de gaz, l’interdiction des pétroliers, les obligations relatives aux véhicules à consommation énergétique nette zéro et à l’électricité à consommation énergétique nette zéro.

L’abrogation de ces lois anti-ressources et anti-développement permettra à l’Alberta, à la Saskatchewan et à l’Ontario d’attirer des investissements dans des projets de partenariat. Nous devons lancer les travaux, développer les industries et créer des emplois. Je suis donc enthousiaste à l’idée de poursuivre notre collaboration afin que nous puissions atteindre nos objectifs communs, notamment faire progresser les pipelines et le développement énergétique responsable.

Cette nouvelle façon de collaborer au-delà des frontières provinciales profitera aux habitants de l’Alberta, de la Saskatchewan et de l’Ontario, et, en fin de compte, à l’ensemble de la population canadienne. J’espère que l’élan actuel continuera de se renforcer et incitera encore plus de provinces et de territoires à se joindre à nous. Merci. Je cède la parole au premier ministre Scott Mo.

Scott Moe :Je voudrais simplement remercier Danielle. Je pourrais dire la même chose et m’asseoir, et ce serait peut-être… Vous savez, c’est la déclaration la plus forte que je puisse faire. Mais merci aussi au premier ministre Ford de nous accueillir ici, en Ontario, alors que nous terminons notre réunion du Conseil de la fédération.

Cette année, je crois, est une année importante pour le Conseil de la Fédération, qui se réunira avec le premier ministre Kearney plus tard aujourd’hui. Et je suis heureux de signer ce protocole d’entente qui dure depuis bien trop longtemps. Comme l’a dit le premier ministre Smith, le secteur énergétique canadien, notre secteur minier essentiel, qu’il s’agisse de notre secteur pétrolier et gazier, toutes nos industries exportatrices ont été confrontées à de trop nombreux obstacles, non seulement dans leur production, mais aussi dans notre capacité à fournir ces produits aux pays du monde entier.

Euh, et c’est nous qui nous réunissons en tant que provinces et nous espérons vivement travailler aux côtés du premier ministre Kearney et de son gouvernement pour changer cela et améliorer les chances du Canada de devenir non seulement l’économie la plus forte du G7, mais aussi de garantir que nous pouvons atteindre les objectifs ambitieux que le premier ministre Kearney a mis de l’avant, à savoir devenir une superpuissance énergétique mondiale.

Pour y parvenir, nous allons devoir apporter des changements à l’élaboration des politiques canadiennes. Le premier ministre Smith en a nommé plusieurs. Pourquoi est-ce important pour la Saskatchewan et pourquoi cet accord s’appuie-t-il sur de nombreux autres accords, qu’ils portent sur le commerce interprovincial libre et équitable ou sur l’accès à tous les ports canadiens ?

Pourquoi est-ce important ? C’est important en Saskatchewan, car nous produisons divers produits : de la potasse, du pétrole et du gaz, des produits agricoles, bien sûr, de l’uranium, mais nous produisons aussi du cuivre, de l’hélium, du lithium, des terres rares et bien d’autres produits qui devront être accessibles à un plus grand nombre de pays.

Davantage d’options d’exportation. Davantage d’options d’exportation pour que nous puissions trouver ces produits, les acheminer vers ces pays du monde entier, afin que nous puissions contribuer à leur sécurité alimentaire et énergétique. Oui, le Canada peut contribuer à la sécurité manufacturière mondiale et, en fin de compte, assurer la sécurité économique des Canadiens, ce qui est, euh, l’objectif.

Oui, très certainement, et c’est l’objectif de notre gouvernement depuis un certain temps. Ainsi, toutes les options pour offrir ces opportunités au monde sont largement soutenues par notre province, la Saskatchewan. Je remercie également le premier ministre Smith de l’Alberta.

Et le premier ministre Ford de l’Ontario, euh, pour avoir franchi une autre étape positive et une initiative positive en avant, euh, en nous permettant de trouver un moyen non seulement de produire davantage de produits qui fournissent cette sécurité énergétique, alimentaire et manufacturière aux Canadiens, aux Nord-Américains et aux autres pays du monde, mais aussi pour avoir trouvé, euh, des moyens supplémentaires pour nous de, euh, fournir, euh, cette sécurité énergétique, alimentaire et manufacturière mondiale au monde.

Merci à vous deux. Je suis ravi de signer ce document de soutien aujourd’hui. C’est formidable.

Doug Ford :Bonjour à tous, et quel plaisir d’être en compagnie de mes bons amis, les premiers ministres Scott Mo et Danielle Smith. C’est un jour exceptionnel pour notre province et pour tout le pays, car lorsque l’Ontario, l’Alberta et la Saskatchewan s’unissent, nous ne signons pas seulement un bout de papier, nous envoyons un message clair.

Le Canada est prêt à bâtir et nous allons le faire ensemble, comme une seule équipe, depuis trop longtemps. Nous avons vu des projets se retrouver bloqués par des réglementations bureaucratiques, retardés, bloqués, puis annulés. Mais aujourd’hui, le monde a besoin de ce que le Canada a. Il est temps de voir grand. Il est temps d’apporter nos minéraux essentiels, notre pétrole.

Notre gaz naturel et notre énergie. Vers de nouveaux marchés partout dans le monde. Tout a commencé plus tôt ce mois-ci, lorsque j’ai rendu visite au premier ministre Smith lors du Stampede de Calgary. Quel hôte formidable ! Et vous avez fait la fête ! La fête continue-t-elle ? Nous avons signé un accord. Nous travaillons main dans la main. Pour construire de nouvelles infrastructures énergétiques et commerciales.

Et aujourd’hui, la Saskatchewan prend les choses en main. Le premier ministre Mo a offert son plein soutien, ce qui change la donne. Laissez-moi vous présenter notre plan. Ce nouvel accord mettra fin au transport du pétrole et du gaz de l’Ouest vers les raffineries nouvelles et existantes du sud de l’Ontario et vers les eaux côtières du Nord, grâce au port en eau profonde de la baie James. Il reliera les minéraux critiques de l’Ontario, dans la région du Cercle de feu, à de nouveaux ports de l’Ouest canadien, contribuant ainsi à la création d’une véritable chaîne d’approvisionnement intégrale en minéraux critiques.

Tout cela sera construit avec de l’acier fabriqué en Ontario et en Saskatchewan, créant ainsi des emplois, attirant des investissements et libérant le plein potentiel de notre économie. Tout cela se fera en partenariat avec les communautés autochtones. Les premiers ministres des provinces et territoires du Canada prennent les choses en main dès maintenant. Le gouvernement fédéral doit faire sa part.

Il faut que le gouvernement fédéral répare son environnement réglementaire défaillant et simplifie les approbations. Je suis entièrement d’accord, sans les énumérer tous. Nous sommes tous d’accord. Comme l’a dit le premier ministre Smith, si nous ne nous débarrassons pas de ces réglementations, les choses ne fonctionneront pas. Mais nous devons le faire et, espérons-le, nous parviendrons à convaincre le premier ministre de faire de même.

Il n’y a plus de temps à perdre. Nous nous concentrons sur l’avenir de tous les Canadiens. Unis, nous prenons notre destin en main et bâtissons une prospérité sans précédent. Je tiens à remercier les deux premiers ministres d’être venus à Huntsville et d’avoir signé cet accord. Que Dieu bénisse le peuple canadien.

Merci.

Merci.

Ouais.

Journaliste :Il a donc tout un système où on commence à écrire, puis on regarde et on prend une photo. Prêt ? Prêt. OK. C’est parti. OK. Tout le monde regarde. Super. Merci. C’est parfait.

Les gars,

Doug Ford :merci.

Parfait. Merci.

Gestion de programme :Oui. Nous allons maintenant répondre aux questions des médias, pour rappel. Aujourd’hui, la séance se déroulera sur une seule question. Veuillez indiquer votre nom et votre média avant votre question. Vous pouvez monter à la tribune. Oui.

Oui.

Danielle Smith :Oh, bonjour. Je suis à ta place. Tu peux aller au micro.

Pierre Zaman :Premiers ministres. Peter Zaman de CBC News. Euh, c’est une question pour vous tous. Mm-hmm. Euh, vous avez beaucoup parlé d’utiliser, euh, d’acheminer nos ressources vers d’autres marchés. Euh, mais comme Daniel Smith l’a souligné, euh, notre pétrole transite actuellement par les États-Unis jusqu’en Ontario.

Le Michigan a menacé de couper court à ce projet il y a quelques années. Trump pourrait le faire pour des raisons politiques. Devons-nous construire un pipeline reliant l’Alberta à l’Ontario en sol canadien, qu’il y ait un promoteur ou non, pour des raisons de sécurité nationale ?

Doug Ford :Eh bien, je crois que oui. Euh, ma bonne amie, la gouverneure du Michigan, elle.

Je la connais depuis le début, elle menace constamment de couper la ligne 5. Cela entraînerait la fermeture de notre aéroport. Une grande partie de l’Ontario serait paralysée, et nous ne pouvons plus prendre de risques. Nous devons être indépendants. Nous avons besoin d’un pipeline allant jusqu’au sud-ouest de l’Ontario, jusqu’à l’une des raffineries, et nous devons être autonomes.

On ne peut plus compter sur les Américains. C’est aussi simple que ça. Au fait, j’aime les Américains. J’aime leur peuple. J’aime les élus, sauf un. Et voilà. Alors oui, nous devons commencer à diversifier nos échanges commerciaux à l’échelle mondiale et, comme l’ont dit le premier ministre Smith et le premier ministre Moody’s, nous devons être des chefs de file du G7 en matière d’économie, et nous devons exploiter tous les outils dont nous disposons pour dire au monde que le Canada est ouvert aux affaires.

Nous devons réduire la bureaucratie, la réglementation et le fardeau réglementaire auxquels nous sommes confrontés. Je suis convaincu que nous travaillerons avec le gouvernement fédéral et le premier ministre. C’est exactement ce que nous ferons. Je vais laisser la parole aux autres premiers ministres.

Scott Moe :Je voudrais juste dire très rapidement qu’il y a en réalité deux conversations ici et que vous avez abordé la question de la sécurité énergétique continentale ou canadienne, c’est la deuxième.

Premièrement, c’est une région productrice de pétrole. Et, vous savez, elle fournit du pétrole au prix le plus élevé possible. La priorité économique numéro un pour nous, dans l’Ouest canadien, est d’avoir accès à la côte nord-ouest. Cela réduira l’écart et offrira une capacité de sortie supplémentaire vers les États-Unis. Une partie de ce pétrole revient effectivement au Canada, mais pour l’industrie pétrolière, d’un point de vue économique, c’est la priorité pour les Canadiens.

Euh, et comme… euh, assurer, valoriser, vouloir et désirer la sécurité énergétique canadienne et, oui, faire partie d’un système de sécurité énergétique nord-américain. Euh, mais en tant que Canadiens et valorisant notre sécurité énergétique canadienne, euh, nous avons certainement besoin d’un accès canadien aux raffineries de l’Est du Canada.

Et je pense que ce serait également important pour les habitants du centre et de l’est du Canada, afin que nous puissions assurer la sécurité énergétique de notre pays. Je tiens à souligner que le premier ministre Smith aura beaucoup plus à dire à ce sujet, étant donné qu’il s’agit de la province la plus productrice de pétrole au Canada, et de loin.

Je voudrais souligner la comparaison avec ce qui s’est passé récemment en Europe de l’Est, lorsque les pays européens ont appris qu’ils dépendaient entièrement de la Russie pour une part importante de leur sécurité énergétique. Or, ce n’est pas un pays dont ils souhaitent aujourd’hui dépendre pour leur sécurité énergétique, et ils cherchent d’autres options ailleurs dans le monde, notamment l’uranium de la Saskatchewan et les réacteurs nucléaires d’Amérique du Nord.

Nous ne devrions pas permettre que cela nous arrive, à nous, Canadiens, de dépendre d’un autre pays, que ce soit pour la production de notre énergie ou pour y accéder par voie ferroviaire ou par pipeline. Nous ne devrions pas non plus dépendre de ports étrangers pour assurer notre sécurité énergétique et offrir ces opportunités au monde.

Euh, donc oui, euh, je pense, euh, qu’en tant que Canadiens, euh, nous devons certainement avoir une discussion très mature sur la façon dont nous pouvons fournir, euh, du pétrole et du gaz de l’Ouest canadien, euh, aux Canadiens qui vivent dans le centre et l’est du Canada pour notre propre bien, euh, pour les générations à venir, euh, et pour notre propre sécurité, non seulement économique, mais en fin de compte notre sécurité générale et notre sécurité énergétique, euh, pour l’avenir.

Danielle Smith :J’ai dit que j’appuyais les pipelines vers le nord-est et l’ouest. J’aimerais qu’ils soient tous construits. Pour revenir à ce que disait Scott, si nous voulons ouvrir de nouveaux marchés, notre meilleure option est de construire un pipeline jusqu’à la côte nord-ouest de la Colombie-Britannique afin d’accéder aux marchés asiatiques. Mais cela devrait nous faire réfléchir, car nous, dans l’est du Canada, sommes trop dépendants.

Concernant le pétrole qui doit transiter par les États-Unis ou être acheminé depuis l’étranger. Nous aurions donc pu remédier à ce problème il y a des années avec l’oléoduc Énergie Est. Énergie Est n’est plus une option envisageable, car ces oléoducs sont désormais remplis de gaz. Mais si nous pouvions commencer par créer…

Une option de pipeline nous permettrait au moins d’atteindre l’Ontario afin de répondre aux besoins de ce marché. Je pense que cela assurerait la sécurité énergétique du pays, et c’est probablement une mesure attendue depuis longtemps. Nous aurions probablement dû le faire il y a des décennies, mais nous ne l’avons pas fait il y a des décennies, mais maintenant nous pouvons le faire, et j’espère que nous y parviendrons.

Kate McKenna :Bonjour, mesdames et messieurs les premiers ministres. Kate McKenna de CBC. Ceci s’adresse également à vous tous. Je me demande ce que vous avez entendu de Mark Carney hier soir et ce que vous espérez entendre de lui aujourd’hui. Ce que j’ai

Danielle Smith :On entend constamment Mark Carney dire qu’il souhaite que le Canada domine le secteur énergétique et devienne une superpuissance énergétique, et qu’il souhaite que nous diversifiions nos marchés, en commençant par…

Euh, intensifier nos échanges commerciaux. C’est l’objet du protocole d’entente d’aujourd’hui : comment trouver un moyen de nous soutenir mutuellement et, en plus, de conquérir de nouveaux marchés. C’est, à mon avis, la seule façon pour le Canada d’obtenir la sécurité énergétique que nous recherchons, et pas seulement énergétique.

Une fois ces bases établies, nous pourrons construire une infrastructure ferroviaire d’importation idéale pour l’alimentation, l’exportation de fibres et de produits manufacturés. Voilà donc les domaines dans lesquels, à mon avis, les provinces prennent l’initiative. Et tout ce que j’ai entendu de Mark Carney semble indiquer qu’il est favorable à cette initiative.

Il témoignerait de son soutien indéfectible s’il abrogeait ou révisait en profondeur les neuf lois néfastes qui impactent notre climat d’investissement. Il ne l’a pas encore fait, mais comme je l’ai dit, nous lui laissons le temps de se familiariser avec son rôle. Une nouvelle session législative débute en septembre, et nous aurons alors une meilleure idée des modifications qu’il compte apporter.

Doug Ford :Je sais que le Premier ministre Carney souhaite devenir l’une des économies les plus fortes du G7, et nous sommes convaincus de pouvoir y parvenir. Mais comme l’a dit le Premier ministre Smith, nous devons nous débarrasser des contraintes réglementaires. C’est ce qui nous freine. Et une façon d’y parvenir est de libérer notre puissance économique.

Le Canada diversifie véritablement ses échanges commerciaux, construit des pipelines vers l’ouest, l’est, le sud et le nord. Et extrait les minéraux essentiels du sol. Pas en 15 ans, mais en deux ans, et obtient les permis beaucoup plus rapidement. C’est ce qui nous permettra de devenir une puissance économique et de construire de grands projets d’infrastructure partout au pays.

Mais nous aurons une discussion plus approfondie avec le Premier ministre Kearney aujourd’hui, et nous approfondirons un peu la question à la table des négociations.

Scott Moe :Et je voudrais me concentrer sur trois points, euh, avec le Premier ministre, dont, euh, je crois, il est sur la bonne voie. Le premier concerne le processus de reréglementation des Premiers ministres Smith et Ford.

J’ai mentionné ses lacunes au Canada. Je pense que la plupart des députés fédéraux le reconnaissent, car ils ont adopté le projet de loi C-5, qui vise essentiellement à contourner les nombreux délais liés à l’incertitude du processus réglementaire actuel.

Il est important pour nous de collaborer avec le gouvernement fédéral et les provinces afin de corriger la racine du problème, à savoir les neuf mauvaises lois à plusieurs niveaux, comme l’a mentionné le premier ministre Smith, et bien d’autres encore. Ce sont les neuf lois et réglementations prioritaires qui doivent être modifiées.

Deuxièmement, nous discutons aujourd’hui de la façon d’accroître l’accès aux ports et au monde pour les produits canadiens. Nous appuyons toute capacité portuaire supplémentaire que nous pouvons trouver et sur laquelle nous pouvons collaborer pour accélérer le transport au Canada. Enfin, et surtout, il y a l’accès aux marchés.

Et dans un monde où… on parle beaucoup de tarifs douaniers et de contre-tarifs, non seulement avec les États-Unis, mais aussi avec d’autres pays. La Chine est un pays important pour les produits de la Saskatchewan, de l’Alberta et de l’Ontario, également dans le domaine agricole. Le premier ministre Carney a été, je pense, aussi engageant que nous pouvions l’espérer, certainement.

Le président, je dirais, à un niveau plus élevé que ce que nous avons vu il y a quelques mois. Et aussi, avec les conversations que j’ai eues avec le premier ministre Kearney concernant certains droits de douane imposés par la Chine, suite à notre alignement, en tant que Canadiens, sur la politique commerciale américaine face à la Chine, il y a un prix à payer pour cela.

Et, trop souvent, cela se retrouve sur la Saskatchewan et sur les produits agricoles canadiens, mais le premier ministre Kearney s’est engagé à nouer des contacts et à engager des discussions avec la Chine sur la marche à suivre. Non seulement en ce qui concerne les tarifs sur le canola, les légumineuses, le porc et les fruits de mer, mais plus généralement, dans le cadre de nos échanges commerciaux avec un pays comme la Chine.

Si nous voulons, d’une manière ou d’une autre, produire davantage et le rendre accessible au monde entier, diversifier cette production supplémentaire en dehors des États-Unis, nous allons devoir faire face à des marchés en croissance comme la Chine, l’Inde et d’autres marchés à travers le monde.

Mickey :Bonjour, Mickey, de Politico. Cette question s’adresse à Smith et Ford. J’ai discuté avec John Ka de la situation des autruches en Colombie-Britannique. Il a rencontré hier RFK Junior et le Dr Oz à ce sujet. Il souhaite essentiellement que le Premier ministre intervienne dans cette affaire, et il a dit qu’il vous avait également parlé à tous les deux à ce sujet.

Allez-vous faire pression sur le Premier ministre à ce sujet ? Avez-vous des préoccupations ou des inquiétudes concernant le traitement réservé aux agriculteurs par le gouvernement fédéral, en particulier dans ce cas précis ?

Danielle Smith :J’ai demandé à mon ministre de l’Agriculture d’examiner la situation pour voir si nous vivions une situation similaire en Alberta. Que pourrions-nous faire différemment ?

Et, euh, un des points qui, je pense, mérite d’être examiné, c’est que lorsque la grippe aviaire a touché ce troupeau, elle a tué 20 % des animaux. Mais pas 80 %. Il y a peut-être des leçons à tirer, comme la survie de ce troupeau, une immunité ou un vaccin.

Je pense qu’il faudrait peut-être réfléchir à différentes façons de gérer les animaux, de les élever et de les protéger. Pourquoi ne pas essayer une approche différente ? Je suis donc ouvert à la discussion, car je suis prêt à voir si cela peut être persuasif. Je crois comprendre que le gouvernement américain serait intéressé par un partenariat avec la Colombie-Britannique s’il le souhaitait.

Je serais favorable à cette idée, car vous voyez que cette affaire a suscité un vif intérêt auprès du public. Et si nous pouvons trouver une meilleure solution que le charbonnage massif dans une situation comme celle-ci, je pense que cela vaut probablement la peine d’essayer. Je ne sais pas si vous avez une idée.

Doug Ford :Ouais, non, j’ai souvent parlé à John de ces autruches. Je suis un amoureux des animaux, pour être honnête, et je veux faire tout ce que je peux pour l’aider. Je crois qu’il avait prévu de l’emmener en Floride, dans un sanctuaire là-bas. Donc, si John a besoin de quelque chose, je suis toujours là pour le soutenir.

C’est un homme bien. Il prend soin des animaux et, euh, il joint le geste à la parole lorsqu’il s’agit de protéger tous les animaux. Alors, merci.

Michel Sarabi :Bonjour. Michael Sarabi de la CPAC. Ma question s’adresse à vous, premier ministre Ford. Je comprends que l’annonce d’aujourd’hui concerne les pipelines et les corridors énergétiques. Oui. Mais étant donné que parmi les réglementations mentionnées figure l’obligation relative aux véhicules électriques, que signifie l’annonce d’aujourd’hui ? Comment cela influence-t-il votre enthousiasme passé à développer des usines de batteries en Ontario et à y faire fabriquer des véhicules électriques ?

Doug Ford :Eh bien, je crois toujours en un fervent partisan du principe selon lequel c’est le marché qui dicte, et non les gouvernements, qui dictera. Il faut se débarrasser de ces contraintes qui empêchent les entreprises d’atteindre leurs objectifs. Et continuons d’investir. Je suis convaincu qu’à terme, le secteur des véhicules électriques continuera de croître.

Mais pour l’instant, ce sont les citoyens qui décideront, mais ne ralentissons pas la construction des usines de batteries et de véhicules électriques. Qui nous connaît le mieux, sinon le secteur automobile ? Et c’est eux qui décideront, mais nous continuerons d’investir dans le marché lui-même. Oui,

Danielle Smith :Je vais juste, je vais juste ajouter quelques choses.

Euh, je crois que Doug produit 1,2 million de voitures. Les Canadiens peuvent-ils en acheter environ 1,2 million ? En tant que province, nous avons donc pris l’initiative de donner la priorité aux véhicules de notre parc automobile. Ces véhicules sont fabriqués et finis en Ontario et offrent d’excellentes options. Il y a des véhicules légers, des véhicules lourds et des véhicules hybrides.

Nous espérons donc que d’autres l’envisageront de la même manière que si les Américains adoptaient une approche hostile. Je pense que notre industrie automobile doit soutenir les véhicules électriques. Seul un très faible pourcentage de véhicules électriques ont été achetés en Alberta et, comme je l’ai mentionné, pour respecter l’obligation en Alberta seulement, il nous faudrait acheter tous les véhicules à faibles émissions actuellement produits en Ontario, ce qui est impossible à réaliser pour l’ensemble du pays.

Cette politique nous oblige à chercher des solutions autres que le soutien à l’Ontario pour y parvenir. Enfin, je dirais que nous essayons de bâtir notre économie de l’hydrogène en Alberta. Nous avons acheté l’aéroport international d’Edmonton et en avons acheté une centaine.

Les Toyota Mirror Eyes sont des véhicules de tourisme. Nous menons un projet pilote bicarburant avec l’industrie du camionnage. Le CP construit des locomotives à hydrogène dans notre province. Nous avons aussi de l’hydrogène pour le chauffage domestique, mais nous cherchons à produire de l’électricité. J’aimerais beaucoup que les fabricants ontariens trouvent un moyen de produire un moteur à combustion à hydrogène.

Je sais que Toyota est fabriquée ici. Et cela pourrait être une façon différente d’atteindre nos objectifs zéro émission. Je pense que nous devons permettre au marché et aux innovateurs de répondre aux besoins de chaque marché. J’espère donc que nous pourrons avoir une discussion constructive avec l’Ontario à ce sujet.

J’ai également commencé à collaborer avec des employés de Toyota qui ont été dans notre province. Il faut donc laisser un peu plus de latitude pour permettre au marché et à l’innovation de fonctionner. Voilà ce que je dirais, et je pense que nous pouvons tous en bénéficier.

Scott Moe :Je, je parlerai peut-être un peu de cela, euh, comme l’a dit Doug, ou le premier ministre Ford, pardonnez-moi, euh, a dit que, euh, vous savez, le marché va conduire cela, et je, je pense que nous le voyons.

Et puis, n’oublions pas à quel point notre économie est intégrée, tant au niveau interprovincial qu’à l’échelle nord-américaine. C’est peut-être un point à retenir dans nos échanges avec l’administration Trump et l’administration américaine actuelle. Nous sommes très, très intégrés.

Et notre intégration est justifiée : c’est la façon la plus efficace de produire. Nous avons mangé un steak hier. Cet animal est probablement né en Saskatchewan, a été élevé en Alberta et est maintenant vendu par un épicier ontarien. Voilà comment nous avons intégré notre économie canadienne sur tous les fronts.

En ce qui concerne la fabrication, qu’il s’agisse de véhicules électriques, de véhicules à essence, etc., on le verra surtout en Ontario, d’un point de vue canadien. Mais avec l’arrivée des véhicules électriques, l’intégration se poursuit. Des terres rares, des minéraux critiques, proviendront du Québec.

Euh, le Cercle de feu en Ontario, mais aussi dans l’Ouest canadien. Nous avons ouvert une usine de traitement des terres rares, qui suscite un vif intérêt dans le monde entier et qui, à terme, permettra de fabriquer des éléments de batterie pour les véhicules, selon les besoins du marché.

On entend souvent dire que cela n’a d’impact que sur l’Ontario. Pourtant, nos provinces sont très intégrées, que ce soit dans notre production alimentaire, notre sécurité énergétique ou ce que nous offrons aux autres Canadiens, comme on l’a déjà mentionné.

Ou, plus généralement, dans notre économie. Lorsqu’une décision est prise dans une région du pays, elle a souvent des répercussions dans d’autres régions, que nous en soyons conscients ou non.

Clark Hepo :Euh, Clark Hepo de l’émission Coach Go News de New York TV à North Bay. Ma question s’adresse au premier ministre Doug Ford. Pouvez-vous être plus précis concernant les lourdeurs réglementaires et les mauvaises lois auxquelles vous faites référence et que vous souhaitez voir modifiées au niveau fédéral ?

Doug Ford :Bon, je vais le donner à Danielle. Elle l’a mémorisé. Moi, je ne l’ai pas mémorisé, alors laisse-toi aller, Danielle.

Danielle Smith :Bien sûr. Je suis ravi de les parcourir. J’ai un petit aide-mémoire dans mes notes pour toujours les avoir sous la main. Tout d’abord, le projet de loi C-69, que nous appelons « le projet de loi anti-pipeline », est indispensable.

Une réécriture substantielle, et je pense que c’est ce que la politique de deux ans pour le « Oui » reconnaît, a constitué un obstacle à la construction de grands projets. Il s’agit notamment du plafonnement des émissions. Impossible, nous ne pourrons pas remplir un nouveau pipeline si nous plafonnons les émissions, ce qui implique de limiter la production. Si nous fixons des objectifs ambitieux, nous devrions réduire la production de 2 millions de barils par jour d’ici 2030.

Il faut que la tarification du carbone disparaisse. Nous voulons que cela reste de compétence provinciale. Nous avons une tarification du carbone de 95 $. D’autres provinces ont fait des choix différents, pour des raisons différentes. Mais nous voulons que cela reste de compétence provinciale. Nous ne voulons pas qu’elles prennent en charge la tarification du carbone, la réglementation sur l’électricité propre. Je peux vous dire que la demande pour les centres de données de l’assurance-emploi dans notre province s’élève à 17 000 mégawatts.

La seule façon de les construire, c’est de construire des centrales au gaz naturel. Cela n’arrivera pas si des responsables ou des dirigeants d’entreprise sont emprisonnés en 2035 pour n’avoir pas atteint des objectifs de réduction des émissions trop ambitieux. Encore une fois, si on ne peut pas embarquer quelque chose sur un navire.

Il est inutile de construire un pipeline jusqu’à la côte, il faut donc le supprimer. Euh, la déclaration de toxicité des plastiques. Nous avons un marché intégré des plastiques entre les États-Unis et le Canada. Si on doit les traiter comme des matières dangereuses, cela ajoute une multitude de réglementations supplémentaires.

De plus, le gouvernement fédéral s’est associé à nous pour une usine pétrochimique à bilan carbone nul en Alberta. C’est donc une politique chaotique que de soutenir et de subventionner d’un côté, puis de tenter de l’interdire de l’autre. Nous en avons discuté, notamment de l’obligation de véhicules à bilan carbone nul. Et puis, la censure du projet de loi C-59, c’est ce que nous entendons.

Je veux dire, si une industrie n’est pas en mesure de parler de ses véritables efforts de réduction des émissions sans risquer des poursuites pénales pour écoblanchiment, alors on passe à côté de l’essentiel. Enfin, nous ne voulons pas de taxes à l’exportation sur l’énergie ni de restrictions à l’exportation, pour les raisons évoquées précédemment : les Américains ont un pouvoir plus important.

Si on coupe la ligne 5 de Bill, cela nuit non seulement à l’Ontario, mais aussi au Québec. Il faut donc trouver d’autres solutions. Mais en attendant, on ne devrait pas parler de restrictions énergétiques, car je pense que cela aurait un impact dévastateur sur l’Alberta. C’est donc au Canada qu’il incombe de le faire.

Ce sont les neuf.

Doug Ford :Ce que j’ai fait, c’est recommander au gouvernement fédéral, comme je l’ai mentionné, de créer un ministère de la bureaucratie et de la réglementation. Nous l’avons fait et nous avons économisé grâce aux secteurs qui nous ont signalé des réglementations inutiles, dupliquées entre les provinces et le gouvernement fédéral.

Nous avons trouvé plus de 1,1 milliard de dollars d’économies et plus d’un million d’heures de travail. C’est donc une somme importante. C’est une somme colossale.

Journaliste :D’accord. Premier ministre Ford. Restez là. Ouais. D’accord. Rob. Rob Ferguson, Toronto Star. Euh, je vous ai vu hocher la tête quand le premier ministre Smiths a dit « Pas de taxes à l’exportation ». Cela signifie-t-il que votre, euh, cette surtaxe sur l’électricité que vous aviez, euh, brièvement imposée, cette idée est complètement morte ?

Et quel est votre objectif maintenant qu’il semble évident qu’il sera impossible d’éviter certains tarifs douaniers.

Doug Ford :Eh bien, tout est sur la table. J’aime être d’accord avec le premier ministre Smith. Nous partageons les mêmes idées. Nous partageons tous les trois les mêmes idées. Et quand je hoche la tête, je suis d’accord.

Mais concernant la taxe à l’exportation sur l’électricité, tout est sur la table. Nous verrons comment cet accord se déroulera et ce qu’il aura à dire le 1er août. Plus important encore, nous devons rester unis et renforcer nos échanges commerciaux avec d’autres pays du monde. Je crois que nous avons conclu des accords de libre-échange avec d’autres pays.

Nous devons en profiter et explorer d’autres marchés. C’est donc ce que nous allons faire. Je suis également d’accord avec le premier ministre du Missouri. Explorons d’autres marchés, de grands marchés qui peuvent concurrencer les États-Unis. Mais, encore une fois, ne serait-ce pas formidable si nous pouvions conclure un accord de libre-échange équitable avec les États-Unis et continuer à progresser ?

Je dis toujours que nous achetons plus. Le Canada achète plus de produits aux États-Unis que la Chine, le Japon, la Corée, le Royaume-Uni et la France réunis. Nous n’avons donc pas besoin de nous laisser distancer par qui que ce soit, et encore moins par le président Trump.

Journaliste :Remercier

Doug Ford :toi.

Journaliste :Tu peux, tu peux juste rester là encore, premier ministre.

D’accord. Merci. Euh, Jack Howen du Trillium.

Doug Ford :Salut Jack.

Journaliste :Hier, après la réunion avec les dirigeants autochtones, vous avez dit que vous ne pouviez pas avancer sans leur collaboration et leur adhésion ?

Doug Ford :Oui,

Journaliste :Et je ne peux rien faire s’ils ne le veulent pas. Le chef Grant, Alvin Fiddler, a dit qu’il espérait que nous enregistrions ces commentaires, et c’est ce que nous avons fait, car certains pourraient interpréter cela comme un droit de veto accordé aux Premières Nations sur les projets.

Donc je suppose que ma question est, dans quelle mesure vouliez-vous dire que je

Doug Ford :Ils veulent juste travailler en collaboration, c’est ce que nous essayons de faire, et ils savent que nous essayons d’améliorer leur vie. Nous essayons d’améliorer celle de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Personne ne les a mieux traités. Personne n’a jamais mis 3 milliards de dollars par la fenêtre pour dire : « Voyons, faisons partie de cet accord. »

Et, euh, 70 millions de dollars de formation, 10 millions de dollars de bourses. On travaille tous ensemble. Et, euh, vous savez, je connais Alvin depuis le premier jour. C’est quelqu’un de bien. Mais, euh, je peux vous l’assurer. Je reçois des appels incessants de chefs de toute la province qui me disent : « Je veux participer à ça. »

Je veux faire partie des zones économiques. Et ceux qui le souhaitent, nous allons travailler avec eux. Ceux qui ne le souhaitent pas, eh bien, ils seront perdants. C’est aussi simple que ça. Oh, vous ne pouvez pas, je ne peux forcer personne à négocier.

Isaac Callan :Isaac Callan, Global News. Vous pouvez rester ici, monsieur le premier ministre. Merci. Euh, au sujet du Québec, à la fois sur ce protocole d’entente et sur le commerce interprovincial.

Le Québec adhère-t-il à votre projet de pipelines et pourquoi tarde-t-il tant à obtenir la signature d’un protocole d’entente commercial interprovincial avec l’Ontario? Quel est l’obstacle?

Doug Ford :Eh bien, nous avons eu l’occasion de signer 10 protocoles d’entente avec les territoires et toutes les provinces, à l’exception du Québec et de Terre-Neuve.

Mais je pense qu’on y arrivera. Reno, le Premier ministre Lago est quelqu’un de très brillant, avec le sens des affaires, et on y arrivera. Il est unique, mais on y arrivera. Je l’adore. Vraiment. Mais oui, c’est important. Mais je pense qu’on va discuter avec eux, tous les trois.

On verra bien. Ça ne profite qu’aux Québécois, voilà ce que ça donne. Ça leur crée des emplois et des opportunités. C’est donc une bonne chose.

Gestion de programme :Ce sera la dernière question.

Journaliste :Bonjour, Laura Stone, première ministre du Globe and Mail, Mme Smith. Je voudrais vous interroger à nouveau sur cette campagne en ligne ciblant l’un de nos journalistes. Vous avez dit hier ne pas connaître David Wallace, mais votre ex-conjoint a déjà regardé ses vidéos.

Alors, euh. Quelqu’un au sein de votre gouvernement a-t-il déjà fait appel à ses services et comment l’avez-vous connu ?

Danielle Smith :Nous sommes en Ontario pour travailler sur des dossiers importants, comme la menace des tarifs douaniers. Nous avons rencontré les infirmières ce matin. Nous avons rencontré les Premières Nations hier, et nous discutons avec le premier ministre de la manière dont nous allons réaliser des projets nationaux.

Je vous ai fait une déclaration. J’ai accordé une interview à CTV. Je vous renvoie à cette information. Je n’ai pas d’autre commentaire à faire.

Gestion de programme :conclut notre conférence de presse. Merci beaucoup

Doug Ford :Merci beaucoup. Merci à tous.

Source: https://www.facebook.com/DanielleSmithAB/videos/766640462479481