10 États américains perdent des usines au profit du Canada – Le dernier va vous choquer

Discover The Globe

Aug 13, 2025

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Comment un machiniste d’une petite ville de l’Ohio a-t-il pu perdre son emploi au profit d’une usine située à 800 kilomètres ? Au Canada, il ne s’agit plus seulement de main-d’œuvre moins chère : nous sommes en 2025, et partout aux États-Unis, les usines ferment discrètement leurs portes, chargent leurs équipements et déménagent vers le nord. Ce n’est pas le genre de choses qu’on voit aux informations du soir, mais c’est réel et ça arrive vite.

Factures d’électricité, allègements fiscaux, permis simplifiés. Le Canada mise sur le long terme et gagne. Si vous avez remarqué de plus en plus de panneaux de fermeture ces derniers temps, ce n’est pas que vous vous faites des illusions. Voici 10 États américains qui perdent des emplois de l’autre côté de la frontière, et le dernier pourrait vous laisser sans voix. Numéro 10, la Pennsylvanie. Comment un ouvrier d’usine de 40 ans à Pittsburgh passe-t-il du jour au lendemain d’un salaire stable à la recherche d’emploi ?

En mars 2025, une usine d’emboutissage de métaux a discrètement fermé ses portes dans l’ouest de la Pennsylvanie et a réapparu en Ontario. Pourquoi le Canada leur a-t-il tout donné ? La Pennsylvanie a refusé : des tarifs d’électricité plus bas, des permis plus rapides et des avantages fiscaux alléchants, tandis que les entreprises de Pennsylvanie attendent près de neuf mois pour obtenir leurs permis. L’Ontario obtient le même résultat en moins de quatre mois, et les factures d’énergie sont jusqu’à 15 % moins chères.

Grâce aux incitatifs liés à l’utilisation des machines. Et voilà le hic : l’Ontario a remboursé la totalité de ses taxes sur les machines, tandis que la Pennsylvanie a imposé des restrictions sur les ventes locales. Les agents des impôts ont été recyclés et ont bénéficié d’indemnités de déménagement grâce à un programme transfrontalier rare. C’est choquant, non ? Mais ce n’est pas tout. La proximité des Grands Lacs. Les ports ont discrètement réduit de deux jours les délais d’expédition vers les marchés mondiaux.

Mais en réalité, le Canada se détache progressivement de l’industrie manufacturière américaine. Si une telle situation peut se produire dans un pays sidérurgique, aucun État n’est à l’abri. Neuvièmement, New York s’est déjà demandé pourquoi cette vieille usine d’électronique près de la vallée de l’Hudson a soudainement fermé ses portes. Il ne s’agissait pas d’un échec technologique, mais d’une sortie stratégique. Au deuxième trimestre de 2025, l’ensemble de l’activité a redémarré à Montréal, rejoignant ainsi le pôle d’activité en plein essor des technoparcs canadiens.

Pourquoi partir ? Analysons la situation. Les crédits de recherche et développement du Québec atteignent un taux exorbitant de 36 %, soit trois fois plus que ce qu’offre l’État de New York. Cette décision leur a également donné accès à des salles blanches prêtes à l’emploi, un atout qu’aucun parc industriel du nord de l’État de New York ne pouvait égaler. Mais c’est là que les choses se compliquent. Le taux de disponibilité énergétique de 99,9 % de Montréal leur a permis d’économiser plus de 200 000 $ en temps d’arrêt potentiel, avec des subventions pour le transport transfrontalier et des énergies renouvelables à peine 2 % de plus.

L’affaire était trop belle pour être refusée. Un rêve, non ? Mais le résultat : 200 emplois disparus. Les programmes de reconversion peinent à rattraper leur retard, et un silence inquiétant règne dans une ville autrefois bouillonnante de circuits imprimés et de soudure. Le Canada ne se contente pas de rivaliser, il surpasse le huitième, l’Indiana. Comment trois ateliers d’usinage à Fort Wayne et à South Bend ont-ils pu disparaître le même mois ?

C’est simple. Ils n’ont pas fermé leurs portes. Ils ont fait leurs bagages et déménagé au Canada. En mai 2025, trois fonderies ont discrètement transféré leurs activités dans le sud de l’Ontario, à la recherche d’un traitement frontalier plus rapide, de coûts d’électricité réduits et de remboursements d’impôts plus importants, tandis que les entreprises de l’Indiana attendent six heures aux heures de pointe aux postes frontaliers. Le système logistique pré-dédouané de l’Ontario réduit ce temps à moins de deux factures d’électricité, soit 10 % de moins en Ontario.

C’est choquant, non ? Ce n’est pas tout. Le Canada offre un crédit fédéral de 15 % entièrement remboursable pour la recherche et le développement, et l’Ontario offre un crédit supplémentaire de 4,5 %, alors que l’Indiana n’a pas de crédit non remboursable. Et tandis que l’Indiana taxe toujours le matériel neuf à 7 %, l’Ontario accorde des remises de 100 % au point de vente. En résumé : plus de la moitié des travailleurs de l’Indiana ont bénéficié de subventions de reconversion pour les aider à prendre un nouveau départ.

Le Canada ne vole pas des emplois avec une main-d’œuvre bon marché. Il le fait grâce à des calculs plus intelligents et à de meilleures offres. Numéro sept, le Kentucky. Imaginez : une usine d’extrusion de plastique à Louisville ferme ses portes en mars 2025, et huit semaines plus tard, elle fonctionne à nouveau à plein régime de l’autre côté de la frontière, à Windsor, en Ontario. Ce n’était pas un effondrement, c’était un bond calculé.

Le crédit d’impôt remboursable de 30 % du Canada pour la production de véhicules zéro émission, plus un crédit d’impôt de 5 % pour l’Ontario. Le complément était l’appât, mais l’appât était la disponibilité industrielle : le réseau de Windsor fonctionne avec une fiabilité de 99,9 %, contre 98,7 % pour le Kentucky. Cette infime différence peut coûter à une usine plus de 150 000 $ par an en temps d’arrêt. C’est fou, non ? Et l’Ontario ne s’est pas arrêté là.

Ils ont offert des allégements fiscaux fonciers sur dix ans, des remises de 100 % sur les nouveaux équipements et même une prise en charge de 25 % des frais de transport pendant deux années complètes. Ajoutez à cela un vivier de main-d’œuvre. Construit directement avec le Collège St. Clair et Boom. Le Canada n’a pas seulement attiré les entreprises, il a aussi donné au Kentucky une image désuète. Il ne s’agissait pas d’un simple déménagement d’usine, mais d’une modernisation complète.

Avant de poursuivre, n’oubliez pas d’appuyer sur le bouton « J’aime » et de vous abonner si vous appréciez ces faits révélateurs. La vérité n’est pas toujours belle à voir, mais elle est importante. Numéro six, Michigan. Que se passera-t-il lorsque même les fournisseurs automobiles de Détroit commenceront à regarder vers le nord ? En janvier 2025, deux grands fabricants de pièces détachées ont discrètement retiré certaines activités du sud-est du Michigan pour les implanter à Oshawa, en Ontario.

Non pas parce que la main-d’œuvre était moins chère, mais parce que tout le reste était plus logique. Ils sont maintenant à quelques minutes des usines de batteries GM et Stellantis, des gigantesques usines qui simplifient la logistique, des kilomètres qui réduisent les retards et des coûts de carburant, mais c’est plus que cela. Le tarif de l’électricité industrielle en Ontario s’élève à environ 0,07 dollar canadien par kilowattheure, soit environ 0,05 dollar américain.

La hausse de 12 % du tarif du Michigan peut paraître minime, mais avec des presses et des robots en fonctionnement 24 heures sur 24, cela représente des milliers de dollars économisés chaque semaine. La fiabilité du réseau joue également un rôle. Le Michigan affiche un taux de disponibilité de 98,6 %, tandis qu’Hydro One, en Ontario, atteint 99,9 %. Cette différence de 0,3 % se traduit par moins d’interruptions de service, moins de rebuts et près de 100 000 $ de pertes évitées par trimestre.

Époustouflant, n’est-ce pas ? Toujours pas convaincu. C’est là que ça devient stratégique : le système canadien de soutien à la recherche et au développement. Le crédit d’impôt fédéral et provincial combiné en Ontario atteint près de 19,5 % et est entièrement remboursable. La version du Michigan : un patchwork non remboursable de 10 % qui touche à peine aux coûts réels de l’innovation.

L’Ontario offre même une réduction complète de la taxe de vente sur les presses et l’outillage neufs, tandis que le Michigan taxe toujours les machines à 6 %. Et puis, il y a l’atout décisif : les réductions d’impôt foncier. La zone industrielle de l’OSHA a accordé des réductions de dix ans à ces usines. La plupart des comtés du Michigan limitent cette réduction à cinq ans, ce qui constitue un avantage logistique.

Des itinéraires d’exportation vers l’Europe plus rapides de deux jours via les ports de l’Ontario. Et il ne s’agissait pas d’une délocalisation, mais d’une amélioration. Les travailleurs n’ont pas non plus été complètement laissés pour compte. Un rare fonds de main-d’œuvre transfrontalière entre l’Ontario et le Michigan a permis de recycler et de relocaliser 70 % du personnel concerné. C’est une coopération rare, mais elle ne cache pas la vérité.

L’emprise du Michigan sur son industrie manufacturière traditionnelle s’effrite. Alors, la prochaine fois que vous verrez une étiquette « Fabriqué au Canada » sur un produit qui passait autrefois par Détroit, ne vous contentez pas de blâmer la main-d’œuvre bon marché, une meilleure planification, une logistique plus fluide et un pays qui surpasse les États-Unis sur tous les indicateurs industriels importants.

La ville de l’automobile ne perd pas seulement des parts de marché. Elle perd aussi les piliers qui la maintenaient. Cinquièmement, le Missouri. Si vous travaillez dans l’industrie aéronautique à Saint-Louis et que votre quart de travail disparaît soudainement, ne présumez pas que l’usine a fermé. Elle aurait pu déménager à Mississauga en mars 2025, une usine d’usinage de précision employant 85 personnes ayant discrètement traversé la frontière.

Pas de gros titres, pas de manifestations massives. Juste un lent déploiement d’équipements et d’expertise en Ontario, où les calculs étaient plus efficaces dans tous les sens. Parlons de recherche et développement. Le programme canadien de recherche scientifique et d’éducation combiné aux remboursements provinciaux de 4,5 % de l’Ontario. Près de 20 % de la main-d’œuvre qualifiée en recherche, le Missouri, un maigre 10 % fédéral non remboursable.

Pensez à ce que cela représente lorsqu’on teste de nouveaux alliages de qualité aéronautique ou qu’on prototype des équipements haut de gamme, des millions de dollars dépensés, et que le Canada vous en récupère près d’un cinquième. Il y a aussi l’énergie : le réseau industriel de Mississauga affiche un temps de disponibilité de 99,8 %, et celui du Missouri, de 99,2 %. Cette petite différence a permis d’économiser 150 000 $ en temps d’arrêt en seulement un an.

Toujours pas mordant. Essayez ces remboursements complets de la TVH sur l’équipement au Canada, comparés à la taxe de 4,225 % sur les machines de fabrication du Missouri. Ces machines CNC et ces robots soudeurs ne sont pas bon marché. Chaque point compte. Et la région de Peel, où se trouve Mississauga, a mis en place des subventions foncières sur 12 ans. Pendant ce temps, St.

Le comté de Louis plafonne à cinq les incitations industrielles les plus importantes. Ainsi, pendant que les élus locaux du Missouri débattaient des règles de zonage, l’Ontario distribuait les clés d’une renaissance de l’aérospatiale entièrement financée et propulsée. Les coûts de main-d’œuvre de droite n’ont pas non plus fait grande différence, car le crédit d’impôt pour les emplois de production de l’Ontario a remboursé 15 % de la masse salariale, maintenant les coûts à un niveau quasi stable tout en augmentant les marges.

Les critères ESG ont également joué un rôle. La centrale est passée à une production 100 % hydroélectrique au Canada moyennant une légère prime de 2 %. Aucune offre de ce type n’est proposée au Missouri pour la production de rapports sur le développement durable. L’Ontario a également pris en charge 25 % des frais de transport transfrontalier grâce à une subvention logistique de deux ans.

Cela a permis à lui seul de compenser les coûts de déménagement. En juin 2025, la nouvelle usine canadienne était opérationnelle et livrait. Le Missouri se retrouvait toujours avec un entrepôt vide et de nombreuses questions sans réponse. Il s’avère que la loyauté n’a aucune chance quand les chiffres ne sont pas de son côté. Quatrièmement, l’Ohio. Vous souvenez-vous de l’époque où le cœur de l’Amérique regorgeait d’usines bourdonnantes et de parkings bondés ?

En 2025, l’État autrefois considéré comme le berceau de l’industrie manufacturière américaine dit adieu à sa gloire industrielle et accueille une migration massive des usines vers le nord. L’Ohio, berceau de géants comme Ford, General Motors et Whirlpool, perd discrètement des emplois, et ce n’est pas seulement dû au blues de la Rust Belt.

En février 2024, Ford a annoncé que ses investissements dans la chaîne d’approvisionnement de véhicules électriques se développeraient en Ontario, et non en Ohio. Oui. L’usine canadienne de Windsor reçoit des milliards, tandis que les ouvriers de la chaîne de montage de l’Ohio sont licenciés ou voient leurs salaires gelés. Choquant, non ? Ce n’est pas tout. Le projet de semi-conducteurs d’Intel, d’une valeur de 20 milliards de dollars, dans le comté de Lincoln.

Toujours dans l’incertitude. L’entreprise a évoqué des problèmes de chaîne d’approvisionnement, une hausse des coûts et, tenez-vous prêts. Des partenariats étrangers plus compétitifs. Traduction : le Canada joue la carte de la prudence avec des allégements fiscaux, des incitations écologiques et une main-d’œuvre en formation pour surclasser l’Ohio. Et cela ne concerne pas seulement les secteurs de l’automobile et des puces électroniques.

Cleveland Cliffs, l’un des plus grands producteurs d’acier des États-Unis, a commencé à transférer ses activités vers les ports canadiens pour bénéficier de tarifs d’expédition et d’énergie plus avantageux. Pourquoi les coûts de l’énergie en Ohio ont augmenté de 25 % depuis 2021, alors que l’Ontario propose des forfaits énergétiques industriels à prix réduit, notamment pour les entreprises respectueuses du climat.

Ajoutons un dernier coup de massue. En 2024, l’Ohio a perdu plus de 8 200 emplois dans le secteur manufacturier. 30 % d’entre eux étaient liés aux usines. La délocalisation ou la réduction des effectifs au Canada amène à se demander pourquoi les États-Unis abandonnent leurs usines sans se battre. Les politiciens de l’Ohio s’efforcent de réformer les structures fiscales, mais les entreprises ne se laissent pas faire.

Les subventions canadiennes sont rapides, écologiques et durables. Difficile de faire mieux, et voici le hic : la jeune main-d’œuvre de l’Ohio suit les usines. La migration de main-d’œuvre transfrontalière est en hausse, de nombreux travailleurs qualifiés déménageant dans le sud de l’Ontario pour de meilleurs salaires et avantages sociaux. Les usines ne se contentent pas de délocaliser.

Ils sont en train de redessiner la carte de l’industrie nord-américaine. Si même l’Ohio, ancien roi de l’acier et des roues, est en perte de vitesse, qu’est-ce que cela signifie pour le reste des États-Unis ? Restez dans les parages, car notre prochaine destination promet des chiffres encore plus époustouflants. Petit rappel : si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est que vous êtes clairement accro.

Cliquez sur le bouton « Abonnez-vous » et « J’aime » pour que nous puissions continuer à vous raconter des histoires. Personne d’autre ne le fera. Troisièmement, l’Illinois. Que se passe-t-il lorsqu’un État, troisième en termes de PIB manufacturier, commence à voir ses usines disparaître comme de la fumée ? L’Illinois en 2025, où l’Exode n’est plus une théorie, mais un titre.

Boeing a quitté Chicago en 2022. C’était le signal d’alarme. Depuis, les grandes installations se sont succédé. L’année dernière, Caterpillar a transféré une partie de sa chaîne de production en Ontario, invoquant la proximité de sa chaîne d’approvisionnement et un environnement réglementaire plus favorable. L’Illinois était trop cher, trop bureaucratique, et le Canada les a accueillis avec un sourire et une généreuse prime.

Et là, c’est le drame. Près de 12 400 emplois liés au secteur manufacturier ont été perdus en Illinois entre le deuxième trimestre de 2023 et le deuxième trimestre de 2024. Il ne s’agit pas de réduction des effectifs, mais d’une évacuation. Envie d’un autre exemple ? Des provinces canadiennes comme le Québec et l’Ontario surenchérissent sur l’Illinois en matière de fabrication verte.

Des usines de technologies propres, initialement prévues à Decatur et Rockford, sont désormais construites en banlieue de Montréal grâce à des subventions 40 % plus élevées par installation offertes par le gouvernement canadien. Et ce n’est pas qu’une question d’argent. L’Illinois a connu une augmentation de 29 % des grèves et conflits sociaux au cours des 18 derniers mois.

Entre-temps, le taux de rétention des travailleurs au Canada est stable et même en hausse. Il s’avère que les entreprises recherchent autant la prévisibilité que la rentabilité. N’oublions pas la logistique. Les liaisons ferroviaires entre l’Illinois et les hubs canadiens sont devenues plus coûteuses, tandis que le transport maritime via les ports canadiens est simplifié grâce à des contrôles douaniers assistés par l’IA.

Cela signifie des délais d’exécution plus courts et une raison supplémentaire de se diriger vers le nord. Mais attention, n’oubliez pas Rivian, la start-up de camions électriques autrefois saluée comme la prochaine grande réussite de l’Illinois. Selon certaines sources, elle prévoit d’étendre sa production de batteries hors des États-Unis, et le Canada figure sur la liste restreinte. Si même l’Illinois ne parvient pas à conserver ses usines de technologie de nouvelle génération, il y a clairement un problème.

Et voici le plus effrayant : il ne s’agit pas d’un ralentissement cyclique. Il s’agit d’un lent recul stratégique. Si la tendance actuelle se maintient, l’Illinois pourrait perdre sa place parmi les cinq premiers États manufacturiers d’ici moins de cinq ans. Les usines ne se contentent pas de déménager. Elles bouleversent les économies, les familles, l’avenir. Et pour l’instant, le Canada est en train de remporter ce bras de fer.

Préparez-vous. Le prochain État sur cette liste. Ce n’est pas celui que vous croyez, et ce qui s’y passe va vous époustoufler. Numéro deux, le Tennessee. Attendez, le Tennessee, l’État qui fait les gros titres grâce à son secteur automobile florissant et à ses usines de véhicules électriques flambant neuves. Eh oui. Ce même Tennessee est maintenant confronté à quelque chose qu’il n’avait pas vu venir.

Le braconnage canadien. Choquant, non ? Mais cela se produit usine par usine, dollar par dollar. Ces dernières années, le Tennessee s’est forgé une réputation de puissance industrielle, notamment dans le secteur des véhicules électriques. De grands noms comme General Motors et Volkswagen ont investi des milliards dans l’État.

Mais voilà le hic. Alors que les usines du Tennessee tournent encore, le Canada capte discrètement la prochaine vague d’investissements. Comment ? Deux mots : des incitations gouvernementales. Les subventions canadiennes de plusieurs milliards de dollars pour la production propre attirent rapidement les entreprises. Cette année seulement, Volkswagen et Stellantis ont annoncé l’implantation d’importantes usines de batteries pour véhicules électriques en Ontario, avec des investissements combinés de plus de 20 milliards de dollars.

C’est le type de centrales que le Tennessee convoitait autrefois, plus maintenant, et c’est là que la situation devient encore plus grave. C’est brutal. Les emplois ne migrent pas seulement vers le Nord, ils ne viennent pas du tout ici. Le Tennessee, qui espérait surfer sur la vague des énergies propres, voit désormais ces opportunités se réorienter vers des villes comme Windsor et St.

Thomas, Ontario. La disparition d’une usine n’est pas la fin du monde, mais lorsqu’elle est multiple et que chacune crée de 2 500 à 3 000 emplois bien rémunérés, c’est un impact durable. EVS n’est pas le seul à souffrir. Les secteurs de la fabrication de métaux et de l’électroménager du Tennessee subissent la pression. Les groupes commerciaux tirent discrètement la sonnette d’alarme face à la disparition progressive des accords d’exportation et aux retards dans les engagements d’investissement à l’étranger.

Alors que les acteurs mondiaux se tournent de plus en plus vers le nord, où l’énergie est moins chère et les vents politiques plus calmes, si vous pensez que cette tendance pourrait bientôt s’inverser, n’y comptez pas. L’absence d’incitations équivalentes au niveau fédéral et étatique au Tennessee rend la compétitivité plus difficile. Alors que le Canada accumule des milliards de subventions et d’allégements fiscaux, les États américains qui n’ont pas fait de contre-offre sont tout simplement laissés pour compte.

La question est donc de savoir si le Tennessee parviendra à s’adapter assez vite pour rester dans la course aux armements industriels. Car à ce rythme, le Canada ne fait pas que gagner. Il réécrit les règles. Premièrement, le Minnesota, qui se déleste d’usines comme s’il s’agissait d’une vente de liquidation ? Croyez-le ou non, c’est le Minnesota. Un État autrefois réputé pour sa forte base industrielle est en train de disparaître discrètement de la course.

Et devinez qui s’apprête à s’emparer de l’avenir ? Le Canada. Oui. Encore une fois, c’est fou, non ? Le Minnesota a toujours eu une emprise solide sur des secteurs comme l’agroalimentaire, les machines, l’équipement médical et la métallurgie. Des entreprises comme 3M, General Mills et Medtronic sont des géants originaires du Minnesota. En 2025, les petites et moyennes usines déménagent, et ce n’est pas pour un autre État américain.

C’est de l’autre côté de la frontière. Qu’est-ce qui les pousse à partir ? Une situation catastrophique, la hausse des coûts de l’énergie, des marchés du travail plus tendus, des impôts plus élevés et un climat politique que certains fabricants qualifient de défavorable aux entreprises. Pendant ce temps, le Canada déroule le tapis rouge du Québec à la Colombie-Britannique. Les provinces offrent tout, depuis des terres gratuites jusqu’à des subventions de plusieurs millions de dollars pour l’énergie propre.

Ne nous croyez pas sur parole. Fin 2024, un fabricant de pièces de précision employant 700 personnes a annoncé son déménagement de Duluth au Manitoba. La raison : des coûts d’exploitation réduits, l’accès aux subventions canadiennes et un environnement fiscal plus favorable. Un dirigeant de l’entreprise a même déclaré : « Le Minnesota ne vaut plus la peine de se battre, et ce n’est pas tout. »

Les parcs industriels ruraux, autrefois dynamiques, s’amenuisent. Des rapports de la Chambre de commerce du Minnesota indiquent une baisse de 13 % des permis de construire de nouvelles installations manufacturières depuis 2022. Parallèlement, les provinces canadiennes connaissent une croissance à deux chiffres au cours de la même période. Plus inquiétant encore : les talents se déplacent également.

Les travailleurs qualifiés du Minnesota postulent à des postes en Ontario et en Alberta, où les salaires et les avantages sociaux sont désormais plus compétitifs. Personne ne s’attendait à entendre cette phrase il y a cinq ans. Il ne s’agit pas d’un simple contretemps, mais d’un changement structurel. Si le Minnesota ne revoit pas sa politique en matière de tarification de l’énergie, d’impôt sur les sociétés et d’incitations à la production, cela risque de devenir un exemple révélateur de la façon dont il ne peut pas être compétitif dans l’économie industrielle moderne.

Soyons réalistes. Lorsque des usines traversent la frontière, ce ne sont pas seulement des emplois qui sont perdus. C’est une perte de dynamisme. Si ces pertes d’usines vous ont choqué, attendez de voir la suite. Cliquez sur « J’aime », abonnez-vous pour recevoir des mises à jour époustouflantes et partagez cette vidéo avec quelqu’un qui croit encore que l’industrie manufacturière américaine est en sécurité.

Croyez-moi, vous voudrez rester au courant de ce qui se passe réellement.

Source: https://youtu.be/xveOPx_HQwI