10 produits américains désormais fabriqués au Canada – Cela se passe discrètement, mais rapidement
Discover The Globe
Aug 7, 2025
Voice Over: Avez-vous vérifié l’étiquette de votre camionnette de livraison de boîtes à lunch ou de votre barre chocolatée préférée ? Dernièrement, car en 2025, un changement discret s’opère. Une employée d’entrepôt de l’Ohio a remarqué que les camions de son entreprise indiquaient désormais « assemblés en Ontario ». Un père de famille retraité d’usine du Michigan a repéré « fabriqué au Canada », estampillé sur les baskets de son petit-fils.
Il ne s’agit pas seulement de quelques produits, mais de dizaines de produits autrefois fièrement fabriqués aux États-Unis, désormais exportés de l’autre côté de la frontière. Pas de communiqué de presse, pas d’indignation. Juste un exode stratégique et silencieux. Pourquoi cela se produit-il ? Qui est derrière tout cela ? Et surtout, à quelle vitesse l’Amérique externalise-t-elle son identité sans que la plupart des gens le sachent ?
Numéro 10 : le ketchup Heinz. Vous est-il déjà arrivé d’arroser votre hamburger de ketchup et de vous dire : « Au moins, c’est américain ? » Détrompez-vous. En 2025, des millions de bouteilles de ketchup Heinz alignées sur les étals américains sont fabriquées en toute discrétion au Canada. Choquant, non ? Ce n’est même pas le côté épicé. Après la fermeture de Heinz, sa légendaire usine de Lemington, en Ontario.
En 2014, la production a temporairement été délocalisée aux États-Unis, mais en 2020, l’entreprise a discrètement démarré son usine de Mont-Royale, au Québec, en utilisant des tomates cultivées en Ontario. Et en 2025, elle produit plus de 45 millions de kilos de ketchup par an, une production encore plus impressionnante. Cette usine approvisionne désormais les marchés canadien et américain. Oui, votre barbecue américain pourrait bien être agrémenté d’une tomate canadienne.
Pourquoi cette décision : des coûts plus bas, moins de droits de douane et des exportations transparentes dans le cadre des règles de l’AEUMC ? Vous ne le sauriez jamais sans vérifier l’étiquette, mais qui vérifie vraiment une étiquette de ketchup, n’est-ce pas ? Ce n’est pas seulement la mondialisation, c’est le silence. Ketchup, conquête. Barre chocolatée Nine O Henry. Prenez une barre chocolatée dans une station-service en 2025 et il y a de fortes chances qu’elle ait voyagé au sud de la frontière avant d’arriver entre vos mains.
Eh oui, ô Henry ! Ce classique américain, épais et noiseté, est maintenant fabriqué au Canada. Vous ne l’aviez pas vu venir ? Hershey l’a retirée des rayons américains en 2019, mais elle n’a jamais quitté le Canada. En fait, le Canada l’a conservée dans son usine de Smiths Falls, en Ontario. Hershey a relancé la production à grande échelle et expédie maintenant des lots sélectionnés directement dans les magasins américains, sous le nom de Rally Sneaky, n’est-ce pas ?
Mais ce n’est pas tout. La version canadienne n’a même pas la même recette. Elle se compose d’un cœur de fudge entouré de caramel et de cacahuètes. Plus décadent, plus complexe, sans doute meilleur. Et si les Américains pensent avoir dépassé O Henry, ils croquent sans le savoir son cousin canadien. À chaque rassemblement.
À vrai dire, le Canada n’a pas seulement maintenu la marque en vie, il l’a fait sienne. Numéro huit, les bonbons Sour Patch. Avez-vous déjà jeté un paquet de bonbons Sour Patch Kids dans votre chariot et pensé : « Un classique américain ? » Vous n’êtes pas seul. Mais voilà le hic : ces petits bonbons rebelles acidulés et moelleux ont probablement traversé la frontière avant de tomber entre vos mains.
Eh oui. En 2025, une grande partie des bonbons Sour Patch Kids vendus aux États-Unis sont en réalité fabriqués au Canada. La plupart des gens sont surpris d’apprendre que le secret se trouve à Hamilton, en Ontario, où Mondelez exploite l’une des plus grandes usines de production de bonbons en Amérique du Nord. Il ne s’agit pas d’une activité secondaire de niche. Cette usine produit des millions de kilos de bonbons gélifiés chaque année, y compris du poisson suédois.
Grâce aux règles de l’AEUMC, leur retour aux États-Unis est gratuit. Ainsi, pendant que vous regardiez du football américain ou alliez au cinéma, ces bonbons américains étaient emballés par des travailleurs canadiens quelques jours auparavant. Pas de changement de marque, pas de grande annonce. Juste un autre changement silencieux dans la source de votre véritable ivresse.
Il s’avère que le bonbon acidulé préféré des Américains n’est plus fabriqué aux États-Unis, et personne ne l’a remarqué. Le pick-up Chevrolet Silverado numéro sept. Le Silverado garé dans votre allée, celui qui crie « construit, dur, construit aux États-Unis ». Vérifiez le numéro de série. S’il commence par un deux, vous avez un pick-up né au Canada.
Choquant, n’est-ce pas ? Mais le hic, c’est que ce ne sont pas que quelques modèles. En 2025, une grande partie des pick-up Chevrolet Silverado, des véhicules légers et lourds destinés aux flottes, et j’en passe, sortiront de l’immense usine d’assemblage de GM à Oshawa, en Ontario. Après sa fermeture en 2019, GM a investi plus de 1,3 milliard de dollars canadiens dans sa relance, juste pour répondre à la forte demande américaine.
Et maintenant, l’usine canadienne bourdonne d’activité avec plus de 2 600 employés qui fabriquent l’une des voitures les plus emblématiques des États-Unis pour des Américains qui ignorent même qu’elle a traversé la frontière. Et ce n’est pas seulement une question de main-d’œuvre moins chère. Le Canada a offert des incitations fiscales, des coûts énergétiques plus bas et une chaîne d’approvisionnement plus fluide dans le cadre de l’AEUMC.
Même si le Silverado est toujours la vedette des publicités avec des cow-boys et des champs de maïs, ses racines en 2025 pourraient être davantage érables que rouges, blanches et bleues. C’est toujours une bête, mais une bête venue du Nord. Avant de passer à la prochaine surprise, n’oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer de ce qui se passe réellement en coulisses.
Numéro six, la fourgonnette de livraison électrique Bright Drop EV 600. Vous avez déjà vu une de ces élégantes fourgonnettes de livraison 100 % électriques s’arrêter devant chez vous et vous vous êtes dit qu’elle devait être construite à Détroit. Détrompez-vous, ce véhicule futuriste a peut-être été assemblé dans la paisible ville d’Ingersoll, en Ontario, car c’est là que se trouve la Bright Drop de GM.
L’EV 600 est né. La plupart des gens sont surpris. Ce modèle brillant n’est pas un simple véhicule électrique. Il représente le grand bond en avant de GM dans l’électrification du secteur de la livraison aux États-Unis. Mais voici un rebondissement que peu d’Américains connaissent : en 2025, le Canada sera le centre mondial de fabrication de ce fourgon américain de haute technologie. Ce projet bénéficiera de près de 2 milliards de dollars d’investissements publics et de restructurations d’entreprises.
L’usine d’assemblage de Camie a été transformée en première usine de fourgons électriques à grande échelle en Amérique du Nord. GM avait promis d’atteindre 50 000 fourgons par an d’ici 2025, fournissant ainsi de grandes marques américaines comme FedEx, DHL et Walmart. Un plan audacieux, non ? Mais c’est là que les choses deviennent encore plus intéressantes. Les ventes ont chuté début 2025. Seulement 274 fourgons avaient été vendus ce trimestre-là.
L’usine a freiné, réduisant drastiquement une équipe, ralentissant la production et licenciant plus de 500 travailleurs. Ce n’est pas exactement la révolution électrique que nous imaginions. Pourtant, chaque fourgon qui sillonne les rues américaines est probablement canadien. Construit grâce aux avantages commerciaux de l’AEUMC. GM évite les droits de douane en assemblant ses véhicules au nord de la frontière, puis en les installant directement dans nos flottes sans sourciller.
Alors que les consommateurs de Californie, de Floride ou du Texas se branchent et adoptent une conduite écologique, ils ignorent que ces batteries, ces essieux et ces logos ont été assemblés en Ontario. Ironie du sort, ce changement était censé symboliser l’avenir électrique, brillant et propre de l’Amérique, construit sur notre propre sol. Mais en réalité, il s’agit d’un bouleversement transfrontalier, alimenté par les règles commerciales, les subventions politiques et une entente tacite.
Le Canada construit des marques américaines. Ce n’est pas un reproche, c’est juste une stratégie. Vous ne verrez pas d’autocollant « fabriqué au Canada » sur ces fourgonnettes. Mais la prochaine fois que votre colis sera livré par une EV 600, brillante et impeccable, sachez qu’elle ne sort probablement pas d’une usine américaine. Elle débarque du Nord, discrètement, efficacement et complètement incognito.
Numéro cinq, le mélange Bridge, un mélange pour snacks enrobés de chocolat. Vous le voyez à chaque caisse. Un simple sachet rempli de cacahuètes enrobées de chocolat, de raisins secs et d’un mélange Sweetss mystérieux, mais vous êtes-vous déjà demandé qui fabrique ce truc ? Voici la nouveauté de 2025. Le mélange Bridge n’est pas seulement un snack américain classique.
Il est maintenant principalement fabriqué au Canada. Incroyable, non ? Ce n’est que le début du mélange Bridge de Hershey. Le petit frère canadien de ce que les Américains appellent souvent le mélange Bridge de Brach domine discrètement les rayons des deux pays à partir d’une seule source : Smith’s Falls, en Ontario. Ce n’est pas un gadget récent. La division canadienne de Hershey’s produit ce chaos chocolaté depuis des années.
Mais le plus étonnant, alors que les coûts de production de bonbons aux États-Unis ont grimpé en flèche, c’est l’usine de Smiths Falls qui a doublé ses activités, devenant ainsi la plaque tournante de l’approvisionnement nord-américain en mélanges Bridge. Les étiquettes peuvent varier légèrement entre les États-Unis et le Canada, mais de nombreux sachets de mélanges Bridge américains proviennent désormais de cette usine canadienne. Plus choquant encore, la recette a changé sans préavis : en 2022, Hershey Canada remplace discrètement des ingrédients de longue date comme la menthe, l’orange, la crème irlandaise et le loukoum par une généreuse augmentation de 20 % des arachides.
C’est toujours une douce surprise à chaque bouchée. Le profil aromatique porte désormais l’empreinte du Canada, et pourtant les consommateurs américains l’engloutissent, pensant qu’il s’agit d’un classique américain, mais ce n’est plus tout à fait le cas. Grâce à des conditions commerciales avantageuses, Hershey peut produire en masse en Ontario, éviter les droits de douane et distribuer le produit partout aux États-Unis comme s’il n’avait jamais franchi de frontière.
La plupart des amateurs de bonbons ne le remarqueraient pas, à moins de retourner le sachet et de plisser les yeux pour lire les petits caractères. Fabriqué par Hershey Canada, Inc. C’est le seul indice. Alors oui. La prochaine fois que vous croquerez ces morceaux de chocolat au hasard pendant votre pause déjeuner ou votre voyage en voiture, sachez qu’ils sont plus canadiens que le sirop d’érable.
Crêpes. Un en-cas que vous pensiez venir du coin de la rue pourrait bien venir de l’autre côté de la frontière, emballé, expédié discrètement et vendu sans même un mot. C’est ça la mondialisation. Douce, subtile et totalement inaperçue. Quatre bonbons gélifiés au poisson suédois ont éclaté. Une poignée de poissons suédois pensant venir tout droit de Scandinavie.
Vous n’êtes pas seul. Mais c’est là que ça devient intéressant. Malgré son nom, le bonbon Chewy tant apprécié des Américains n’est plus une importation européenne exotique. En fait, ces bonbons rouge vif sont désormais fabriqués au Canada. Eh oui. Le Swedish Fish est peut-être né en Suède dans les années 1950, créé par le confiseur Malacco, mais ce sont les États-Unis qui en ont véritablement fait une icône du snacking après Cadbury Adams.
Désormais intégrée au groupe Mondelez International, dont le siège social est américain, elle a pris en charge la distribution nord-américaine. Le poisson suédois a connu un succès fulgurant dans les cinémas, les stations-service et les distributeurs automatiques à travers les États-Unis. Il n’est pas exagéré de dire qu’il est devenu un incontournable des rayons de confiseries américains. Voici un rebondissement dont la plupart des gens n’entendent jamais parler.
Ces dernières années, la production destinée au marché nord-américain a été transférée vers une usine Mondelez à Hamilton, en Ontario, au Canada. Eh oui, le poisson typiquement suédois. Vous le dévorez après le travail ou pendant une soirée Netflix. Il a probablement été fabriqué de l’autre côté de la frontière, et il ne s’agit pas d’une simple usine Mondelez.
L’usine canadienne est un géant de la confiserie, produisant également d’autres friandises majeures de son portefeuille. Cette décision stratégique permet à l’entreprise de réduire ses coûts, de gérer sa logistique aux États-Unis et au Canada, et de continuer à inonder les rayons américains sans que la plupart des acheteurs ne remarquent le moindre changement. Surprenant, non ? Mais ce n’est pas tout.
L’emballage affiche toujours notre marque et le goût est toujours unique, celui de cette baie mystérieuse. On ne sait pas exactement où elle se situe, mais on a toujours envie de la différence. Un passage discret en sol canadien. Pas besoin de passeport. Aujourd’hui, un bonbon qui a longtemps fait partie de l’enfance américaine, des seaux d’Halloween aux stands de restauration, fait partie d’une liste croissante de friandises américaines qui traversent discrètement la frontière, non pas pour entrer aux États-Unis, mais pour en sortir.
C’est drôle comme les choses changent, n’est-ce pas ? Si cela vous a surpris, n’hésitez pas à cliquer sur « J’aime » et à laisser un commentaire si vous avez remarqué l’un de ces changements. Troisièmement, le Jeep Compass. VUS. Vous pensez que votre Jeep Compass flambant neuf est un VUS américain de haute volée. Détrompez-vous, car en 2025, ce badge sur votre capot pourrait aussi bien indiquer : « Fabriqué en Ontario ».
Eh oui. La même Compass, autrefois fièrement assemblée au Mexique, fait désormais partie d’un remaniement d’assemblage canadien que la plupart des acheteurs n’ont jamais anticipé. En 2024, Stellantis, anciennement FCA, a annoncé un investissement de 1,3 milliard de dollars pour rééquiper son usine d’assemblage de Brampton, en Ontario. L’objectif était d’introduire la production de la toute nouvelle Compass au Canada, en versions thermique et hybride électrique.
Sortir de la chaîne de montage ressemble à une manœuvre musclée, n’est-ce pas ? En quelque sorte, car début 2025, ce plan s’est heurté à un obstacle majeur. La production a été soudainement interrompue. Stellantis a freiné en raison des nouveaux tarifs américains, de la baisse de 25 % sur les véhicules fabriqués au Canada, de la nervosité économique et des fortes incertitudes liées aux coûts. Près de 3 000 travailleurs canadiens se sont retrouvés en suspens, à mi-chemin, et la boussole est devenue le symbole d’un phénomène plus vaste : l’instabilité de la fabrication transfrontalière.
Mais le plus surprenant, c’est qu’une fois l’usine redémarrée, probablement en 2026, une grande partie des Jeep Compass nord-américaines naîtront au Canada. Elles seront vendues partout aux États-Unis sans modification majeure de leur nom. À moins de vérifier le code VIN pour un H (Canada), vous n’auriez aucune idée que votre Compass n’a pas été fabriquée à Détroit ou à Toledo.
Vous vous demandez peut-être pourquoi ne pas tout simplement le construire aux États-Unis, car la fabrication en Ontario offre des avantages fiscaux, une main-d’œuvre qualifiée et une infrastructure existante. C’est moins cher, plus rapide et plus intelligent sur le plan logistique. Jusqu’à ce que la politique internationale vienne tout gâcher. Ainsi, pendant que les Américains testent leur VUS 100 % américain, ils mettent les pieds, sans le savoir, dans un véhicule fabriqué au Canada.
Une stratégie mondiale et potentiellement enchevêtrée dans les tarifs douaniers, ça prend un autre tournant quand on réalise que même une Jeep robuste peut se perdre dans la confusion transfrontalière, non ? Et pourtant, elle continue de rouler. Fièrement vêtue d’une marque qui ne raconte plus tout. Numéro deux : la Dodge Charger, une muscle car. Avez-vous déjà regardé une Dodge Charger et pensé qu’elle était 100 % pure muscle américaine ?
Eh bien, quelle surprise ! Autrefois symbole de l’héritage de puissance de Detroit, Dodge fait maintenant étalage de sa puissance au nord de la frontière. Oui. Ce bolide rapide et furieux est construit à Brampton, en Ontario, au Canada. Choquant, certes, mais ce n’est pas tout. Depuis 2005, Dodge assemble discrètement des Charger au Canada, sous la direction de Stellantis, à l’usine d’assemblage de Brampton.
Voilà près de deux décennies qu’une icône américaine majeure sort d’une usine canadienne. Et il ne s’agit pas de modèles jetables. Le Canada produit les packs SCAT, les Hellcat et toutes les finitions haute performance qui font craquer les fans de Charger. Pourquoi ce changement économique et logistique ? Les usines canadiennes offrent une main-d’œuvre qualifiée, des accords commerciaux avantageux et des coûts de main-d’œuvre inférieurs à ceux des usines américaines.
C’est une meilleure stratégie commerciale, mais cela perturbe tout de même la fierté du Made in America, n’est-ce pas ? Il ne s’agit pas d’une trahison secrète. Dodge a été clair. L’usine de Brampton est une véritable locomotive. Elle produit également la Challenger et la Chrysler 300. Avec le dernier modèle à essence de la Charger, dont la sortie est prévue d’ici 2025, cette voiture musclée de fabrication canadienne pourrait bien devenir une perle rare pour les collectionneurs.
Et voilà le hic. Lorsque Stellantis a présenté la Dodge Charger électrique, les spéculations sur la Daytona SRT ont immédiatement fusé quant à son lieu de production. Le Canada pourrait-il être le futur berceau de la puissance électrique américaine ? L’avenir nous le dira. Alors, la prochaine fois que vous croiserez une Charger, filez vite. N’oubliez pas que ces pneus n’ont pas brûlé au Michigan.
Elles sont sorties tout droit de l’Ontario. Ça change un peu les choses, non ? Mais bon, les voitures de sport nord-américaines sont toujours aussi performantes, avec juste un peu de sirop d’érable dans le compartiment moteur. La minifourgonnette Chrysler Pacifica numéro un. Devinez ce qui traverse discrètement les frontières sans que personne n’y prête attention : cette Chrysler Pacifica ultra-fiable, capable de transporter une famille à l’entraînement de soccer, n’est plus une voiture purement américaine.
Elle est désormais construite exclusivement à Windsor, en Ontario, au Canada. Étonnamment, non ? Accrochez-vous à vos porte-gobelets, car les choses deviennent encore plus inattendues. La Chrysler Pacifica n’est pas une simple fourgonnette. C’est la seule fourgonnette hybride rechargeable sur le marché américain, et elle est fièrement fabriquée juste de l’autre côté de la rivière Détroit, au Canada.
Depuis 2016, l’usine d’assemblage de Windsor a pris en charge la production complète de la Pacifica, et elle tourne à plein régime depuis. Eh oui ! Cette familiale américaine est 100 % canadienne, fabriquée depuis près de dix ans, et il ne s’agit pas seulement de produire quelques fourgonnettes. On parle de centaines de milliers de Pacifica expédiées directement aux États-Unis chaque année.
On peut parler d’un rebondissement frontalier. Stellantis, la société mère de Chrysler, a doublé ses investissements dans l’usine de Windsor, investissant des milliards pour la rééquiper en vue des futurs modèles électrifiés, notamment la prochaine génération de Pacifica et d’autres véhicules électriques. Pourquoi Windsor ? C’est un géant de la production. La région offre une main-d’œuvre qualifiée et des décennies d’expérience dans la production automobile.
Et voilà le truc : des coûts compétitifs qui maintiennent les profits sans faire de compromis. Autrement dit, cela rapporte de l’argent. Pourtant, beaucoup d’Américains n’en ont aucune idée. Leur soi-disant véhicule national n’est pas si national. Après tout ce luxueux intérieur en cuir et ces sièges escamotables conçus aux États-Unis, fabriqués au Canada et utilisés partout aux États-Unis.
C’est drôle comme les choses à l’échelle mondiale sont passées inaperçues, n’est-ce pas ? Et avec l’électrification complète des futures Pacifica, Windsor pourrait devenir le centre de l’innovation nord-américaine en matière de fourgonnettes. Alors, pendant que vous accompagnez les enfants à l’école ou que vous vous rendez à une destination, n’oubliez pas que votre fourgonnette a peut-être fait ses premiers pas au Canada, et non dans le monde automobile américain.
C’est fou comme les choses évoluent vite, n’est-ce pas ? Des marques américaines emblématiques sortent maintenant des usines canadiennes, et la plupart des gens n’en ont aucune idée. Si cela vous a ouvert les yeux, cliquez sur « J’aime », laissez un commentaire avec vos réflexions, partagez avec vos amis et, bien sûr, n’oubliez pas de vous abonner pour découvrir d’autres révélations surprenantes.
Source: https://youtu.be/wKGm8RSnekY