Trump ÉVINCÉ alors que le Canada investit 1,1 milliard $ dans l’aluminium – Délaisse les États-Unis au profit de l’UE et de l’Asie
Piston Pundit
Aug 4, 2025
Voice Over: Bienvenue dans votre ultime point de vente spécialisé en pistons, où couple et discussions commerciales se rencontrent, et où puissance et titres s’entrechoquent. Alors que le président Trump fait la promotion de son grand et magnifique projet de loi et multiplie les tarifs douaniers, le Canada riposte, non pas par de la rhétorique, mais par des matières premières. Il est question d’un mégaprojet d’aluminium de 1,5 milliard de dollars, d’une forte hausse des exportations vers l’Europe et l’Asie, et d’une rupture nette avec la dépendance commerciale des États-Unis.
Est-ce le début d’une nouvelle carte mondiale des métaux ou simplement une stratégie de couverture canadienne astucieuse ? Attachez vos ceintures, car dans cette course à l’aluminium, le Canada ne se contente pas de tenir le volant, il accélère. Voici ce qui motive ce changement.
Le Québec met les bouchées doubles dans l’expansion de l’aluminium. Le marché canadien de l’aluminium vient de prendre un nouvel essor. Le pôle industriel québécois a annoncé une modernisation audacieuse de 1,5 milliard de dollars de son usine de Setteal, une initiative aussi politique qu’industrielle. Mais ne vous méprenez pas : il ne s’agit pas d’un simple lifting. Il s’agit d’un pare-feu contre les tarifs douaniers de 50 % imposés par Trump sur l’aluminium et d’une stratégie à long terme pour renforcer l’emprise du Canada sur la production d’aluminium nord-américaine.
L’accord n’est pas seulement important, il est stratégique et s’appuie sur l’énergie propre et stable d’Hydro-Québec. L’installation garantit une faible empreinte carbone et une prévisibilité des prix à long terme, avec 750 millions de dollars alloués jusqu’en 2030 et le reste jusqu’en 2045. Il ne s’agit pas seulement d’une solution d’avenir, mais d’un atout majeur : le Québec représente déjà 70 % de la production d’aluminium du continent.
Cet accord consolide leur suprématie. Parlons des détails. 950 employés, 630 000 tonnes de production annuelle, dont 40 % détenu par Rio Tinto, le reste étant soutenu par des géants européens. Pour les curieux de l’aluminium, cela signifie que chaque panneau Tesla ou support aérospatial provenant d’ici pourrait bientôt contourner complètement les douanes américaines, mais les initiatives industrielles du Canada ne fonctionnent pas en mode pilote automatique.
Ils sont dirigés avec agressivité d’en haut. Melanie Jolie appuie sur l’accélérateur. C’est alors qu’entre en scène Melanie Jolie, ministre canadienne de l’Industrie et nouvelle cheffe de file économique du pays. Lors d’une récente visite dans le corridor de l’aluminium du Québec, Jolie ne s’est pas contentée de visiter les usines. Elle a multiplié les propos, qualifiant les tarifs douaniers de Trump d’injustifiés, illégaux et inacceptables.
L’aluminium, l’acier et l’automobile s’ajoutent aux premières lignes. Ce ne sont pas que des paroles en l’air. C’est une diplomatie survitaminée. Jolie ne chôme pas non plus. Elle réduit les formalités administratives, réduisant les formalités de financement de 50 à 12 pages. Elle dynamise également les pipelines de liquidités par l’intermédiaire d’institutions comme la BDC et le CED. Elle donne ainsi aux petits fabricants l’énergie nécessaire pour être compétitifs et concrétise sa stratégie à long terme.
Un plan en trois étapes : des défenses antidumping à court terme, des investissements et une rationalisation financière à moyen terme, et l’intégration à long terme de l’aluminium canadien dans les projets militaires et nationaux. Elle met également en garde ses collègues décideurs politiques. Sous Trump, les États-Unis sont imprévisibles. Il publiera une nouvelle politique sur Twitter à 6 h du matin et nous serons dans l’embarras.
Elle a déclaré que sa solution était de détacher l’économie canadienne de la volatilité américaine avant qu’une nouvelle bombe tarifaire ne tombe. Alors que Trump actionne les leviers à Washington, le Canada change discrètement de vitesse à l’échelle mondiale avant que nous approfondissions la question. N’oubliez pas d’appuyer sur le bouton « J’aime » et de vous abonner à Piston Pundit. Cela nous permet d’approfondir notre compréhension des mécanismes et des marchés qui façonnent notre monde.
Les exportations ont réorienté la stratégie de diversification et la surmultiplication du Canada. Alors que Washington durcit le ton en matière de tarifs douaniers, les exportateurs canadiens se tournent vers de nouvelles voies et les statistiques commerciales de mai 2025 montrent que les exportations vers les pays autres que les États-Unis ont augmenté de 5,7 %, tandis que les expéditions à destination des États-Unis ont chuté à leurs plus bas niveaux de l’ère pandémique. Le déficit commercial s’est réduit de 7,6 milliards de dollars canadiens à 5,9 milliards de dollars canadiens, signe d’un rééquilibrage.
L’aluminium n’est pas le seul à bénéficier d’une croissance mondiale. Le Canada exporte davantage d’or vers le Royaume-Uni, davantage de brut vers Singapour et davantage de porc vers le Japon. Même les acteurs de niche, des sociétés pharmaceutiques aux fabricants de costumes de mascottes, peaufinent leurs stratégies pour s’imposer en Asie et en Europe. Les économistes appellent cela le Grand Pivot.
Avec des accords de libre-échange comme l’Accord de libre-échange canadien (CDA) et le Partenariat transpacifique global (PTPGP) qui battent leur plein, le Canada prouve qu’il n’a plus besoin de suivre l’économie américaine. Il trace sa propre voie et le fait avec précision, mais le véritable tournant de cette histoire commerciale ne se résume pas à éviter les tarifs douaniers. Il s’agit de devenir une puissance manufacturière et exportatrice à l’ère des véhicules électriques, et c’est précisément ce que nous explorerons ensuite.
Le secteur manufacturier ralentit, mais l’innovation verte s’accélère, tandis que les secteurs canadiens des matières premières et de l’agroalimentaire tournent à plein régime. Le moteur manufacturier global est en panne. L’indice PMI mondial (PMI) de juin a chuté à 45,6, son niveau le plus bas depuis la crise de la COVID-19 de 2020. Avec les tarifs douaniers imposés par Trump qui pèsent sur le commerce transfrontalier, le cinquième mois consécutif de contraction a été durement touché et les réductions de production ont atteint leur plus haut niveau en cinq ans.
Mais tout le monde n’est pas au point mort. Certains fournisseurs de composants en acier renégocient leurs contrats avec les États-Unis pour partager les conséquences des droits de douane. D’autres se tournent vers l’Europe et l’Asie, ou coupent tout simplement leurs liens avec les acheteurs américains. Pourtant, voici le problème : alors que la fabrication traditionnelle peine à se développer, les technologies propres connaissent un essor rapide, des composants de batteries pour véhicules électriques en Ontario et au Manitoba aux pôles de l’hydrogène et aux composites aérospatiaux.
Les investissements se tournent vers ce que certains appellent la prochaine génération de transmissions au Canada. Le secteur aérospatial à lui seul a généré près de 19 milliards de dollars canadiens l’an dernier, et sa croissance ne s’arrête pas là. La ministre Melanie Jolie et le premier ministre Legault misent sur un avenir vert, numérique et diversifié. Si les formalités administratives peuvent être allégées et les zones d’innovation favorisées, cette rupture dans le secteur de l’aluminium pourrait déclencher une véritable renaissance industrielle.
Et à quoi sert l’aluminium à haut rendement si on ne peut pas le transporter ? C’est là que la force silencieuse du Canada entre en action. Les ports de puissance, les moteurs d’exportation du Canada se mondialisent. Oubliez les fonderies brillantes pendant une seconde. Les ports du Canada deviennent tranquillement le système de transmission de sa transformation commerciale et de Snet Québec.
Le port tranquille devient une rampe de lancement surpuissante. La ministre Jolie a mis en avant les améliorations apportées à Port Snet, qui expédie désormais directement de l’aluminium vers l’Europe. Les exportations vers l’Italie et l’Allemagne sont en hausse, grâce à une logistique moderne qui réduit les coûts et les délais d’expédition. Ce n’est pas seulement une question d’efficacité, c’est aussi une question d’agilité stratégique, et c’est aussi une question de respect de l’environnement.
Le port se prépare à accueillir des marchandises à faible émission de carbone et conformes aux normes ESG. Une demande de plus en plus cruciale de la part des acheteurs européens. Avec Rio Tinto et les fabricants régionaux impliqués dans cette refonte logistique, les entreprises disposent désormais de moyens d’évasion tarifaire plus rapides lorsque la politique américaine évolue de manière imprévisible, ce qui est encore mieux. Il ne s’agit pas seulement d’aluminium.
Ces mêmes améliorations, qui soutiennent l’hydrogène propre, les terres rares, l’agroalimentaire et les matériaux composites, ainsi que les liaisons ferroviaires intermodales déjà en cours dans les entrepôts frigorifiques, constituent en réalité la police d’assurance économique du Canada, une réorientation rapide à l’ère du commerce militarisé. Prenons donc du recul et voyons ce que tout cela signifie pour le bilan global : la transition vers l’aluminium qui pourrait remodeler le commerce.
Le Canada ne s’est pas contenté de contrer les tarifs douaniers de Trump. Il les a déjoués, de la rénovation d’une fonderie québécoise d’un milliard de dollars à la montée en flèche des expéditions d’aluminium outre-Atlantique. Le message d’Ottawa est clair et net : il ne se pliera plus aux règles de Washington. Et ce ne sont pas que des paroles en l’air. La stratégie de Angelina Jolie, qui consiste à gérer les crises, comprend des injections de liquidités, des mesures bureaucratiques, des réductions de dépenses, des réorientations des exportations et des pôles de production manufacturière à l’épreuve du temps.
Au lieu de céder aux États-Unis, le Canada réoriente sa pression vers la résilience et la pertinence. Les États-Unis ont peut-être tiré les premiers coups, mais ils ont involontairement accéléré la transformation du Canada en acteur mondial des technologies propres. La question est maintenant de savoir si ce nouvel élan résistera à la prochaine tempête économique ou si l’attraction gravitationnelle de Washington se révélera trop forte.
Nous souhaitons maintenant connaître votre avis. Le Canada peut-il réellement élaborer une stratégie commerciale qui nous libère de notre dépendance ? Les investissements dans les technologies propres et les véhicules électriques suffiront-ils à compenser les pertes du secteur manufacturier traditionnel ? Le Canada est-il en passe de devenir un modèle mondial pour la stratégie industrielle post-tarifaire ? Partagez vos réflexions et expériences dans les commentaires ci-dessous.
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Source: https://youtu.be/leZ0_qY1jjI