10 pays qui ont aidé le CANADA à s’enrichir après les tarifs imposés par Trump.

Top 10 Trips

May 15, 2025

Voix off :En mars 2025, tout a basculé. Les gros titres annonçaient des droits de douane, des emplois en jeu, des milliards menacés. Washington a tourné le dos et, pendant un instant, le Canada a eu l’impression que le sol s’était effondré. Mais la suite n’a pas été bruyante ni colérique : elle a été intelligente, stratégique et discrètement puissante. Dans cette vidéo des 10 meilleurs voyages, nous nous penchons sur les 10 pays qui ont contribué à la prospérité du Canada.

Après les histoires de tarifs douaniers de Trump, l’actualité a été à peine couverte, mais l’économie ne l’oubliera jamais. Alors, n’oubliez pas d’aimer et de regarder jusqu’au bout, car les pays qui sont venus à la rescousse du Canada pourraient vous surprendre. Il ne s’agit pas seulement de commerce, mais de ceux qui nous ont soutenus lorsque notre plus grand allié mondial s’est détourné.

En commençant par le numéro 10, nous avons le Royaume-Uni. En mars 2025, lorsque Washington a réimposé au Canada un tarif douanier de 25 % sur l’acier et une taxe équivalente sur l’aluminium, Ottawa a appelé son vieil allié outre-Atlantique et Londres a répondu en avril. Les ministres du Commerce d’Ottawa et de Westminster ont discrètement élevé leur coopération post-Brexit au rang de pacte économique stratégique.

Le gouvernement britannique a affecté plus d’un milliard de dollars à des fonds de capital-risque binationaux, canalisant des capitaux vers des startups canadiennes du secteur de l’énergie propre à Vancouver et des innovateurs en biotechnologie à Toronto, ainsi que vers des fonds de pension britanniques, puis a engagé 2 milliards de dollars supplémentaires pour les infrastructures canadiennes, souscrivant à des mises à niveau au port de Vancouver et finançant des extensions de terminaux à faibles émissions de carbone qui ont rationalisé les exportations vers l’Asie et l’Europe.

Les régulateurs britanniques ont accordé un accès accéléré aux plateformes FinTech canadiennes, ouvrant ainsi un accès aux marchés financiers londoniens que les startups canadiennes scrutaient depuis longtemps, notamment auprès des distributeurs alimentaires britanniques confrontés à des pénuries chez leurs fournisseurs américains traditionnels. L’entreprise s’est rapidement tournée vers le canola, les légumineuses et les fruits de mer canadiens, absorbant environ 300 millions de dollars de ventes réorientées du secteur agroalimentaire au milieu de l’année.

Pendant ce temps, les entreprises canadiennes d’IA et de cybersécurité ont enregistré une hausse de 22 % de leurs contrats de services au Royaume-Uni, protégeant ainsi leurs revenus technologiques des retombées des droits de douane sur le secteur automobile. Rien ici n’a été évoqué dans les journaux télévisés ni dans des discours grandiloquents. Au lieu de cela, les conseils d’administration des ministères du Commerce, les coulisses et les réunions d’information des investisseurs en capital-risque ont tissé une relation moderne et privilégiée, fondée sur un besoin mutuel plutôt que sur la nostalgie.

À la fin de l’été, les échanges bilatéraux de biens et services avaient augmenté de plus de 25 % par rapport à l’année précédente, prouvant que lorsqu’une superpuissance ferme ses portes, une autre peut ouvrir ses portes suffisamment grandes pour alimenter la reprise d’une nation entière. Numéro neuf, l’Allemagne. Lorsque les droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium sont entrés en vigueur en mars 2025, l’Allemagne a rapidement réagi pour créer un contrepoids.

En quelques semaines, Berlin et Ottawa ont signé un accord historique sur l’hydrogène propre. Les conglomérats chimiques allemands se sont engagés à acheter pour plus de 3 milliards de dollars d’hydrogène vert canadien, acheminé par des pipelines modernisés entre les pôles d’énergie renouvelable de l’Alberta et les aciéries européennes. Des ingénieurs allemands ont ensuite modernisé les usines d’électrolyse canadiennes avec des turbines et des catalyseurs de pointe, améliorant ainsi l’efficacité de la production locale et créant des milliers d’emplois hautement qualifiés en Alberta et en Saskatchewan.

Simultanément, les principaux constructeurs automobiles allemands, touchés par les contre-tarifs américains sur l’acier, ont signé des contrats pluriannuels pour le nickel et le cobalt canadiens, essentiels aux batteries des véhicules électriques. Ces accords ont garanti 2,5 milliards de dollars de revenus miniers et ont stimulé la construction d’usines de transformation nationales au Manitoba et au Québec.

Capter davantage de valeur avant l’exportation. Pour articuler ces initiatives, la banque publique allemande KFW a accordé 750 millions de dollars de financement à faible taux d’intérêt à des incubateurs canadiens de technologies propres, accélérant ainsi les avancées en matière de captage du carbone et de décarbonisation industrielle. À l’automne 2025, les exportations canadiennes vers l’Allemagne avaient bondi de 33 % sur un an, tirées par les minéraux critiques pour l’hydrogène et les services de technologies vertes.

Pourtant, ce partenariat de premier plan est resté largement invisible aux yeux du public, orchestré au sein de groupes de travail ministériels et de tables rondes du secteur privé. Plutôt que de faire l’objet de débats politiques, l’Allemagne ne s’est pas contentée d’acheter des produits canadiens. Elle a investi dans l’avenir industriel du Canada en fusionnant les objectifs européens de développement durable avec les ressources et l’ingéniosité canadiennes.

Ce faisant, le Canada a obtenu une place permanente à la table des négociations sur la transformation de l’Europe en matière d’énergie propre. Preuve que la véritable force économique naît souvent d’une collaboration à huis clos. Huitièmement, le Japon, alors que le protectionnisme américain atteignait son apogée. En mars 2025, le Japon a discrètement offert une bouée de sauvetage économique au Canada, forgeant l’une des alliances les plus importantes de l’année dans la région du Pacifique.

En avril, les principaux services publics de Tokyo ont convenu d’acheter 7 milliards de dollars de gaz naturel liquéfié canadien par an, doublant ainsi presque les volumes avant les tarifs, et ont cofinancé l’expansion des terminaux GNL en Colombie-Britannique. Les maisons de commerce japonaises ont soutenu de nouveaux projets de dragage et de construction de puits en eaux profondes qui ont revitalisé les économies côtières et créé des milliers d’emplois.

Parallèlement, les principaux constructeurs automobiles japonais ont réorienté 2 milliards de dollars de commandes d’acier et d’aluminium vers des usines canadiennes, garantissant ainsi l’approvisionnement des usines d’assemblage nord-américaines en mai, au Canada et au Japon. Ils ont lancé un défi d’innovation pour les villes intelligentes, en réunissant 500 millions de dollars pour développer des systèmes de transport en commun pilotés par l’IA à Vancouver et à Tokyo.

Des entreprises japonaises de robotique ont ouvert des antennes de recherche et développement à Montréal et à Waterloo, collaborant avec des jeunes pousses canadiennes en IA sur des prototypes de véhicules autonomes et des réseaux intelligents compatibles 5G. En novembre 2025, les exportations technologiques canadiennes vers le Japon avaient progressé de 18 %, tandis que les revenus du GNL avaient bondi de 4 milliards de dollars par rapport à 2024. Ce partenariat, cependant, est resté discret.

Pas d’annonces fracassantes, seulement des protocoles d’entente intergouvernementaux et des coentreprises privées. Le Japon a offert au Canada une diversification cruciale des marchés de l’énergie et des hautes technologies, au moment même où les relations avec les États-Unis se sont dégradées. Une crise imminente s’est transformée en une ère de coopération discrète axée sur le Pacifique. Cette alliance multiforme a consolidé la place du Canada dans la dynamique de croissance de l’Asie et a réaffirmé que la résilience économique durable repose sur la collaboration stratégique, et non sur les représailles.

Septièmement, la Corée du Sud. Lorsque le secteur minier et métallurgique canadien a été confronté à d’importants droits de douane américains en mars 2025, la Corée du Sud s’est empressée de sécuriser ses chaînes d’approvisionnement et de renforcer les communautés canadiennes productrices de ressources dès le mois de mai. Les principaux fabricants de cellules de batterie SOL avaient signé des contrats pluriannuels de 3,4 milliards de dollars pour le graphite, le lithium et le nickel canadiens, qui sous-tendent la révolution des véhicules électriques de Cho.

Ces accords ont financé l’agrandissement de mines au Québec et la modernisation des installations de traitement en Ontario, créant ainsi des centaines d’emplois dans les régions rurales. Hyundai et Kia recherchaient des intrants stables. Elles ont détourné 1,2 milliard de dollars de leurs approvisionnements en acier et en aluminium de fournisseurs américains vers des usines canadiennes afin de consolider leurs chaînes de montage nord-américaines.

En juin, Samsung et LG ont investi 600 millions de dollars dans un centre de recherche et développement sur les semi-conducteurs à Vancouver, axé sur les tests de nœuds avancés et la science des matériaux. Ce centre a permis à des ingénieurs taïwanais et coréens de collaborer avec des chercheurs canadiens, accélérant ainsi les cycles de conception des microcontrôleurs. En décembre 2025, les exportations canadiennes vers la Corée du Sud avaient augmenté de 25 % sur un an, stimulées par les matériaux pour batteries et les services technologiques.

Pourtant, cette alliance vitale s’est déployée discrètement dans les conseils d’administration et les laboratoires d’innovation plutôt que sur les scènes politiques. La Corée du Sud ne s’est pas contentée d’ouvrir son marché. Elle a investi dans des coentreprises et des transferts de technologie, garantissant ainsi que les ressources canadiennes alimentent sa transition vers les énergies propres, tandis que les entreprises canadiennes s’implantent dans l’écosystème de haute technologie asiatique.

Dans un monde fracturé par le commerce et les escarmouches, Sol et Ottawa ont bâti un corridor résilient, prêt à soutenir l’économie des technologies propres pendant des décennies. Sixièmement, l’Australie, à des milliers de kilomètres de là, et le Canada ont découvert que leurs valeurs démocratiques communes et leurs atouts en matière de ressources pouvaient transformer l’adversité tarifaire en opportunité stratégique.

En avril 2025, le Fonds d’avenir de Canberra a alloué 1,5 milliard de dollars à des projets canadiens de minéraux critiques, ciblant le cobalt, les terres rares et le lithium, essentiels à la décarbonisation mondiale. Ces capitaux ont stimulé le développement minier au Manitoba et au Québec, et financé des usines de transformation nationales qui conservent le raffinage à valeur ajoutée au Canada.

Parallèlement, la Pacific Research Alliance a été dotée de 300 millions de dollars pour favoriser des avancées conjointes dans les domaines de la chimie des batteries et des technologies de traitement des minéraux, du financement, des bourses transfrontalières, des installations de laboratoire et des défis d’innovation. Des entreprises australiennes d’Agritech ont introduit l’agriculture de précision, les drones et les systèmes de gestion de l’eau dans les provinces des Prairies canadiennes, augmentant les rendements de 12 % et réduisant les coûts d’irrigation, au moment même où les marchés céréaliers américains se resserraient sous l’effet des tarifs douaniers.

En septembre 2025, les échanges commerciaux bilatéraux avaient bondi de 40 %, portés par les exportations de ressources, de recherche et de technologies agricoles. Pourtant, ce changement est resté discret. Grâce à des bureaux de recherche, des réunions d’information ministérielles et des collaborations avec le secteur privé, l’Australie et le Canada ont démontré que la résilience découle de la prévoyance, de la confiance et d’investissements stratégiques. La preuve que lorsqu’un corridor se ferme, les alliés peuvent co-construire de nouvelles voies d’innovation et de croissance.

Cinquièmement, l’Inde. Fin mars 2025, alors que les tarifs douaniers américains frappaient durement l’agriculture et l’industrie manufacturière canadiennes, l’Inde a saisi une occasion historique. Le ministère de la Sécurité alimentaire de New Delhi a signé un accord de 1,8 milliard de dollars pour des légumineuses, du canola et du blé canadiens, stabilisant ainsi des milliers d’exploitations agricoles des Prairies dès mai. Les géants pharmaceutiques indiens avaient signé des contrats d’approvisionnement de 600 millions de dollars pour des produits chimiques canadiens de haute pureté, qui sous-tendaient la production à grande échelle de vaccins et d’antibiotiques.

Parallèlement, Ottawa a créé un corridor FinTech à Vancouver, offrant des visas accélérés et des avantages fiscaux aux entreprises indiennes de logiciels. Les exportations indiennes de technologies de l’information vers le Canada ont augmenté de 30 %, et des programmes conjoints de formation en IA et en blockchain ont été lancés dans de grandes universités. Le groupe Adani a ensuite investi un milliard de dollars dans la modernisation des ports canadiens, agrandissant les terminaux de Vancouver et de Montréal afin d’accélérer les flux bilatéraux.

En octobre 2025, le volume total des échanges commerciaux bilatéraux dépassait celui des corridors du Canada avec les États-Unis et la Chine, et des délégations commerciales faisaient la navette entre Mumbai et Toronto. Ce partenariat a fusionné Resource Wealth et Demographic Opportunity Canada, offrant ainsi une porte d’entrée sécurisée vers l’Amérique du Nord, et l’Inde, un partenaire d’envergure dans les domaines de la technologie et de l’agriculture.

Ensemble, ils ont écrit un nouveau chapitre de la diplomatie commerciale du XXIe siècle. Un chapitre défini non pas par les tarifs douaniers, mais par une ambition commune et une croissance générationnelle. Quatrièmement, le Mexique, voisin du sud du Canada, a réagi aux tarifs douaniers de mars 2025 par une solidarité sans équivoque, approfondissant ainsi les liens. Né de décennies d’intégration nord-américaine.

En avril, le consortium automobile mexicain a accepté de tripler ses importations de composants canadiens en acier et en aluminium, générant 2,2 milliards de dollars de commandes d’usines en Ontario et au Québec. Ces pièces ont alimenté les chaînes de montage de Puebla et de Guanajuato, préservant ainsi les chaînes d’approvisionnement continentales malgré les droits de douane américains. La coopération dans le secteur de l’énergie s’est intensifiée lorsque la compagnie pétrolière nationale mexicaine a accordé des licences de forage offshore élargies dans le Golfe à des sociétés d’exploration canadiennes.

Débloquer 800 millions de dollars d’investissement et maintenir simultanément des emplois bien rémunérés aux deux frontières. Un corridor Pacifique Nord en Basse-Californie a ouvert ses portes aux fabricants d’électronique canadiens qui ont établi des centres d’assemblage en franchise de droits pour desservir l’Asie, générant 450 millions de dollars de commandes d’équipements de PME. En novembre 2025, les importations mexicaines de biens canadiens avaient bondi de 28 % sur un an, tirées par les pièces détachées, l’énergie et la fabrication de haute technologie. Dans les salles de conseil et les réunions des commissions commerciales, plutôt que dans les rassemblements politiques, le Canada et le Mexique, fortifiés et leur interdépendance ont transformé l’adversité tarifaire en compétitivité continentale, preuve que la géographie commune et les intérêts mutuels restent les meilleurs remparts contre le protectionnisme.

Troisièmement, les Émirats arabes unis. Alors que les tensions commerciales nord-américaines atteignaient leur paroxysme, les Émirats arabes unis sont devenus le partenaire stratégique du Canada en matière d’infrastructures, d’énergie et de sécurité alimentaire. En juin, l’autorité d’investissement d’Abou Dhabi a affecté 4 milliards de dollars à l’émission d’obligations canadiennes pour l’énergie verte, garantissant ainsi la modernisation des réseaux électriques de l’Alberta et du Québec.

Cela a accéléré le déploiement de systèmes de stockage par batterie à grande échelle et de projets éoliens. Ces fonds ont modernisé les réseaux électriques provinciaux et créé des milliers d’emplois dans le secteur de la construction. DP World, l’opérateur portuaire mondial de Dubaï, a conclu un accord d’un milliard de dollars pour agrandir les terminaux à conteneurs automatisés du port de Montréal, contournant ainsi les hubs américains congestionnés et réduisant jusqu’à cinq jours les temps de transit vers l’Europe et l’Asie.

Sur le front de l’Agritech, les consortiums de serres émiraties ont investi 250 millions de dollars dans des fermes canadiennes à environnement contrôlé, déployant des modules d’agriculture verticale en Saskatchewan pour approvisionner les marchés du Golfe en produits frais tout au long de l’année. En décembre 2025, les exportations vers les Émirats arabes unis avaient bondi de 35 % grâce aux infrastructures, à l’énergie, à l’équipement et aux technologies agricoles.

Cette alliance du Golfe et de la Grande-Bretagne a pris forme dans les salles de conseil des pays souverains et sur les chantiers plutôt que par des discours publics. Elle a démontré que lorsque les corridors traditionnels vacillent sous les pressions politiques, des partenaires riches en capitaux peuvent construire de nouvelles autoroutes. L’intégration de l’innovation canadienne aux trajectoires de croissance du Moyen-Orient et la garantie de surmonter l’adversité tarifaire deviennent le catalyseur d’une présence mondiale plus profonde et plus diversifiée.

Deuxièmement, la France. Lorsque les tarifs douaniers américains de mars 2020 ont menacé les secteurs énergétique et technologique canadiens, la France a proposé un plan de coopération et d’échanges culturels axé sur le climat. En avril, les accords de libre-échange français (AFR) ont cofinancé pour 3 milliards de dollars des projets canadiens de technologies propres ciblant le captage du carbone, l’hydrogène vert et les matériaux de batteries avancés.

Ces fonds ont permis de financer des startups, des laboratoires d’exploitation des sables bitumineux de l’Alberta aux usines pilotes de production d’hydrogène à Québec. Les grands groupes énergétiques français ont ensuite investi 1,5 milliard de dollars dans des accords de développement conjoint avec des exploitants canadiens de sables bitumineux, expérimentant des méthodes d’extraction durables et captant les émissions à la source.

Les liens culturels se sont renforcés lorsque la France a accéléré l’octroi de visas de travail aux cinéastes et créateurs numériques canadiens, ce qui a donné lieu à des festivals collaboratifs à Cannes et à Toronto, qui ont mis en valeur les industries créatives des deux pays. Parallèlement, les banques françaises ont accordé 5 milliards de dollars de lignes de crédit à faible taux d’intérêt aux exportateurs canadiens, se réorientant vers l’Europe, la souscription, l’aérospatiale et les changements de la chaîne d’approvisionnement pharmaceutique. À l’automne 2025, les échanges commerciaux bilatéraux avaient augmenté de 22 %, tirés par les énergies propres, la culture et les services financiers.

Organisée par des conseils intergouvernementaux et des partenariats industriels plutôt que par des rassemblements populistes, cette alliance franco-canadienne a prouvé que des valeurs communes de démocratie, de diversité et d’ambition climatique peuvent soutenir une prospérité durable, même lorsqu’un partenaire traditionnel se replie sur lui-même. Enfin, en tête, nous avons les Pays-Bas.

Lorsque les droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium sont entrés en vigueur en mars 2025, le Canada avait besoin d’une nouvelle porte d’entrée, et les Pays-Bas ont répondu à l’appel. En avril, l’autorité portuaire de Rotterdam et l’autorité portuaire Vancouver-Fraser avaient conclu un accord logistique de 2 milliards de dollars pour approfondir les canaux, automatiser la manutention des conteneurs et installer des entrepôts frigorifiques sur les deux côtes.

Opérationnel. En septembre, ce corridor contournait les goulots d’étranglement américains, réduisant jusqu’à cinq jours les délais de transit des légumineuses à grains et des fruits de mer canadiens à destination de l’Europe et de l’Afrique. En mai, les géants laitiers néerlandais ont signé un accord annuel de 1,4 milliard de dollars pour le fromage et le lait en poudre canadiens, stabilisant ainsi les revenus des artisans ontariens et des agriculteurs de l’Île-du-Prince-Édouard.

Cet accord comprenait des laboratoires communs de recherche et développement à Rotterdam et à Guelph, où les sélectionneurs ont collaboré sur les contraintes liées à la résilience climatique dans le domaine énergétique. Royal Dutch annoncera un investissement de 3 milliards de dollars pour co-développer l’éolien offshore au Canada atlantique, financer des usines de pales d’éoliennes à Halifax et moderniser le réseau à St.

John. D’ici décembre 2025, les premières lames fabriquées au Canada sortiront des chaînes de montage, créant plus de 2 000 emplois qualifiés en Nouvelle-Écosse. Les liens en matière d’innovation se sont encore renforcés lorsque le Fonds néerlandais pour les technologies de la santé a alloué 800 millions de dollars à des coentreprises en biotechnologie. L’accélération des essais de vaccins canadiens est freinée par les retards réglementaires américains.

Consortium de mobilité d’Einhorn. Partenariat avec les laboratoires de transport en commun de Toronto pour piloter des tramways modulaires et des systèmes de circulation pilotés par l’IA. Lancement des essais sur le terrain en novembre. À la fin de l’année, les échanges commerciaux bilatéraux avaient bondi de 38 %, preuve que lorsqu’un corridor est fermé, un autre peut être construit discrètement, inscrivant l’économie canadienne dans de nouveaux réseaux mondiaux et réécrivant son destin post-tarif.

Comme nous l’avons vu, lorsque la pression venait d’un côté, le Canada trouvait discrètement de la force auprès de l’autre. Ces dix pays n’ont pas seulement contribué à stabiliser une économie. Ils ont contribué à réécrire une histoire de résilience, d’adaptabilité et de nouvel espoir. Nous souhaitons maintenant connaître votre avis. Quel partenariat vous a le plus surpris ? Ou si vous pouviez choisir un pays avec lequel approfondir vos liens avec le Canada, qui choisiriez-vous et pourquoi ?

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Source: https://www.youtube.com/watch?v=1gI9f-0zDw0